Genève Terroir - Les points de vente de produits du terroir
L'Office de promotion des produits agricoles de Genève au service de la production locale
De nombreux producteurs proposent leurs produits directement sur leur lieu de production en vente directe. Il est également possible de se fournir en produits de proximité dans ces différents points de vente:
Recommendé pour les actions
Impact Hub - Mon Défi carbone – Semaine #1 – Alimentation. Je participe à un Potluck !
Le Défi carbone d’impact hub. 5 semaines, 5 défis, 1000 participants. Tu n’es pas encore inscrit-e ? C’est ici. Inscrit-e ou pas, voici l’action semaine #1. A toi de l’engager. Notre alimentation pèse très lourd sur la planète. Pour plusieurs raisons. D’abord des pertes et des gaspillages très élevés. 20% au niveau mondial. Et notre part personnelle dans ce gâchis est significative : 38 % ! Ensuite son transport. Beaucoup de produits viennent de loin. Une assiette moyenne, c’est 1900 km de transport ! Et là aussi, étonnamment, 40% du CO2 de ce transport se situe entre le magasin et ma cuisine. Impressionnant. Plus discret, sa pollution. Trop d’entrants en agriculture si elle n’est pas bio. Nitrates, phosphates, pollution des sols, de l’eau de surface et des nappes phréatiques. Et tout finit dans l’océan. Un exemple ? La moitié du thon en boîte contient des niveaux de mercure bien trop élevés. Les emballages, et notamment le plastique. Environ 2 kg par personne et par semaine... Et la viande pèse lourd, bœuf en tête. Surface agricole requise, production de sa propre alimentation, mais aussi consommation d’eau. Alors quel est mon défi pour cette semaine #1 ? Découvrir que manger végétarien, local et bio, c’est un impact maximal sur mon empreinte. Et des plats extrêmement savoureux à découvrir ! Le truc génial pour m’y lancer ? Je participe à un Potluck ! Clique sur les liens et parcoure les gestes de l’action. Tu vas tout comprendre en te faisant plaisir !
Je me lance pour 2 semaines 100% végétariennes
Manger végétarien, c’est… tendance. Et si je décidais de me faire une vraie opinion, la mienne, basée sur mon expérience ? Il y a beaucoup de très bonnes raisons pour ça, et très diverses ! Manger végétarien c’est étonnant et c’est facilement très savoureux. De vraies découvertes, avec des saveurs insoupçonnées, des légumineuses variées, à graines ou fourragères, des légumes goûteux, certains quasi inconnus, et des restaurants plaisir à découvrir. Des grands chefs s’y mettent, et ça va certainement se renforcer. Cuisiner végétarien mène souvent à considérer l’alimentation autrement. Choisir. Varier. Prendre (un peu de) son temps. Préparer des portions à l’avance et les servir quand bon me semble. Vivre les saisons, tout naturellement. C’est bon pour ma santé. En Suisse nous consommons en moyenne 3 à 4 fois plus de viande par semaine que la quantité conseillée. En manger moins ou pas du tout, réduit les maladies cardio-vasculaires, les cancers et le diabète, ainsi que la bien trop grande quantité d’antibiotiques utilisée dans les élevages industriels. Et bien sûr pour, la planète. Emission de GES, déforestation, eau consommée, la viande rouge est vraiment très lourde pour la planète. Et le poisson, lui, est en surpêche et doit être protégé. En fait, une porte d’entrée simple et efficace en durabilité, par le plaisir. Je veux l’expérimenter, savoir si je suis capable de m’y mettre un peu, beaucoup ou totalement ? Alors je me lance le défi de 2 semaines 100% végétariennes !
Je relève le défi d’acheter 100% local et de saison pendant 2 semaines
Manger tout aussi bien mais en réduisant notre impact environnemental ? Simple et efficace, il suffit de privilégier le local et les produits de saison de notre terroir. Mon premier défi ? Je m’engage pendant 2 semaines à consommer 100 % local et de saison. C’est nécessaire. Notre canton importe plus de 80 % de ses denrées. Les fruits et légumes hors saison viennent de trop loin. Ces produits polluent par leur transport, c’est le fameux « kilomètre alimentaire ». Cueillis avant maturation, ils sont moins goûteux et de moins bonne qualité nutritionnelle. Même locaux, les produits hors saison nécessitent souvent des serres chauffées qui émettent du CO2. Un exemple ? Les tomates cultivées localement mais hors saison produisent 7 fois plus d‘émission carbone, et plus encore pour d’autres produits. Un gros enjeu, facile à adresser. Nous nous sommes habitués à ce que tous les produits soient disponibles, toute l’année. Heureusement, de nombreux calendriers peuvent nous aider : WWF, Légumes suisses, Genève Terroir et GRTA , et FRACP. A moi de choisir mon préféré. D’autant que pour consommer local et de saison, nous avons un large choix à Genève. Et beaucoup de sites proposent des recettes de saison : Cuisiner malin, les Jardins de Cocagne, Légumes suisses etc. Malin, facile. Je n’ai qu’à décider de me lancer ! Avec deux aides saison et recettes dans mon smartphone et en lisant les étiquettes, je me démontre à moi-même que je peux acheter 100% local et de saison.
Je décide de réduire et de mieux gérer ma consommation de poisson
Pour manger moins de viande, on aurait tendance à se rabattre sur le poisson. Malheureusement, ce n’est pas si simple. Oui, le poids sur la planète de la viande, notamment de bœuf, est très lourd. Mais nous devons aussi réduire notre consommation de poissons et crustacés. En Suisse, nous en consommons 9 kgs par personne et par an, une augmentation de 60% en 25 ans. Moins connu, nous importons 96% de cette consommation. Pour répondre à la demande, les méthodes de pêche se sont fortement intensifiées, certaines dévastatrices. 1/3 des stocks de poissons sont en surpêche. L’aquaculture ? Elle fournit la moitié de notre consommation mais génère des problèmes de pollution et de santé. Et ce que l’on sait moins c’est que les poissons d’élevage sont généralement nourris avec de la farine ou de l’huile de poisson. 1 kg de poisson d’élevage, c’est 2 kgs de poisson sauvage – c’est le poisson qui se mord la queue. On ignore aussi souvent qu’1/3 des déchets plastiques en mer proviennent de la pêche. Chaque année, des milliers d’animaux sont tués ou blessés par des filets flottants. Ces déchets contribuent à la génération de microplastiques, cette pollution insidieuse qui se répand partout. On ignore encore quels seront ses effets à long terme sur la santé des humains et des animaux. Bref, le poisson le plus écologique est bien celui que l’on ne mange pas. L’idéal serait d’arrêter complètement, ou tout au moins de réduire sérieusement afin de préserver l’environnement et sa propre santé.
Je mange des fruits et légumes locaux et de saison
Quand on mange local et de saison, on réduit son impact environnemental et on soutient une agriculture durable tout en dégustant de meilleurs plats ! Le canton de Genève importe environ 80% des denrées consommées par sa population, et les fruits et légumes hors saison viennent souvent de très loin. En plus de la pollution engendrée par ce transport, ces produits sont cueillis avant maturation, donc avec peu de goût, pour qu’ils ne pourrissent pas le temps du transport. Sans compter que ce temps perdu réduit la qualité de leurs nutriments. Et attention, le local peut être un faux ami. En hiver, les fruits et légumes hors saison produits sur place peuvent l’être dans des serres chauffées au mazout qui émettent du CO2. Selon une étude du WWF, 1kg de haricots verts cultivés localement hors saison produit 8 fois plus d’émissions de carbone qu’en saison. Il est vrai qu'aujourd'hui nous sommes tellement habitués à ce que tous les fruits et légumes soient disponibles toute l'année qu'il n'est pas facile de savoir ce qui est de saison. Heureusement, il existe de nombreux calendriers qui peuvent nous aider : WWF, Légumes suisses, Genève Terroir , et FRACP. A moi de choisir mon préféré. Pour privilégier les aliments locaux, nous avons un large choix à Genève et beaucoup de sites proposent des recettes de saison : Cuisiner malin, les Jardins de Cocagne, Légumes suisses etc. Malin et facile !
Je m’inscris à un panier hebdomadaire
Lorsque je m’abonne à un panier hebdomadaire de l'agriculture contractuelle de proximité (ACP), je facilite grandement mon approvisionnement fruits et légumes. Et en m’engageant pour une saison ou plus, je permets aux producteurs locaux d'adapter leur plan de culture et de s'assurer un revenu stable pour eux-mêmes et leur-e-s employé-e-s. L’ACP propose des produits de qualité, diversifiés et aux saveurs de la région. Elle minimise les intermédiaires et les distances entre la production et la consommation, tout en soutenant une agriculture durable. D’un coup d’un seul, je bénéficie de beaucoup d’avantages :- des produits frais, locaux, produits de manière agroécologique,- des modes de production intégrés, biologiques ou biodynamiques avec une culture en pleine terre,- l’opportunité de découvrir de nouveaux aliments et de nouvelles manières de cuisiner grâce aux recettes partagées au sein du collectif,- un sentiment de bien-être et de fierté, en soutenant notre souveraineté alimentaire et la lutte contre le gaspillage alimentaire. La quantité est produite en fonction du nombre de paniers commandés à l’avance, et avec des produits qui ne sont pas forcément calibrés. Enfin, il n'y a pas d’intermédiaires et les prix sont directs, reflets de la relation qui s’établit entre celles et ceux qui produisent et celles et ceux qui consomment ces produits frais locaux.Les paniers peuvent être collectés sur le lieu de production ou livrés dans de nombreux points de distribution.