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L'accroissement des catastrophes naturelles. Certains pensent qu'il y en a plus... parce qu'on en parle plus. Une donnée pour éclairer la chose ? Les coûts payés par les assureurs pour leurs dégâts. Coûts directs et pertes économiques associées. 2005 avec Katrina et 2019 avec 3 ouragans exceptionnels sont les seules années à avoir dépassé leur coût de 2024. Leur accroissement continu est clair
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Une autre information désagréable, mais il nous faudra bien accepter de regarder les choses en face. Reconnaître un problème, c'est la moitié du chemin. Vous avez vu la news sur l'augmentation des indemnisations d’assurance suite aux évènements climat. Voici une estimation de leurs conséquences indirectes. 2'300 milliards de dollars... Est-ce l'économie qui, enfin, nous réveillera ??
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La catastrophe de Blatten. Nous avons tous été choqués et attristés pour les habitants, pour le choc d'une vie que cela représente pour eux. Mais cet article est intéressant. La diversité des réactions politiques. Des experts sont convaincus du lien au réchauffement, mais les controverses vont bon train. Il faudra bien un jour injecter une dose de recul et de sagesse en politique. Un vœu pieu ?
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Wikemedia. Une des acteurs de notre avenir démocratique : une information libre, indépendante, pour accéder à la réalité du monde à la seule limite de ma propre envie de comprendre. Et pas à des visions orientées, ou fakes. Un volet essentiel de notre liberté, alors que le contrôle financier de l'information, les autocrates ou des pays malfaisants œuvrent autrement, puissamment. Je fais un don ?
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Une inégalité homme-femme... bonne pour la transition ! Une étude française décalée qui analyse la différence d'empreinte hommes-femmes en alimentation et mobilité. 26% sur ces deux postes. Un zoom qui n'inclut pas tous les paramètres, comme la différence taille-poids, l'achat de vêtements et autres. Mais on peut en retenir que nos habitudes de vie pèsent beaucoup. Et ça, c'est encourageant !
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Décidemment, l'impact de notre activité humaine, et notamment industrielle et de production, est lourde. A court terme, par son impact par exemple sur l'air, mais aussi sur le long terme et notre santé. Après la mesure de concentrations de produits néfastes dans le thon en boîte, une étude sur la pollution des sols agricoles dans le monde. Une étude avec des limites, mais il n'y a pas de fumée...
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Une vidéo en anglais, choquante. L'incroyable flux de vêtements que nous jetons, ou… recyclons, en fait envoyés dans des pays en "développement". Ici au Ghana. Non seulement ces flux cachés nous donnent bonne conscience, encouragent la fast fashion et notre surconsommation de vêtements neufs. Mais ils sont aussi utilisés par certains distributeurs pour communiquer leur… recyclage. Accrochez-vous
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Big Plastic Count, un zoom pour féliciter les élèves/étudiants qui ont compté. Merci et bravo à eux. Le calendrier était tendu, la participation sur Genève a été forte et encourageante pour les progrès que nous devrons faire à l'avenir, nous tous, et les nouvelles générations en particulier. Et grand merci par avance à ceux qui accompagneront le dépôt de demandes et projets de loi au Parlement !
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Dossier Comprendre - Je découvre la thématique du plastique dans les lacs et les rivières

Je réduis fortement mes achats de plastique

Les micro et les nano-plastiques - La (très) grosse pollution à bas bruit

C'est décidé, l'Europe pour moi, c'est sans avion !
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Janus au Bioparc
Partenaire de longue date, le Bioparc a accepté avec enthousiasme d'héberger notre tortue bicéphale jusqu’à la fin des travaux du Muséum, en raison de sa sensibilité aux vibrations.
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Dialogues insolites
Cette exposition, disséminée dans la ville sous forme de petites installations, est réalisée dans le cadre de la fermeture temporaire du Muséum d’histoire naturelle de Genève (MHNG).
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Dialogues insolites
Le Muséum d'histoire naturelle s'invite aux Conservatoire et Jardin botaniques et propose un regard croisé sur les spécimens et les collections des deux institutions scientifiques.
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DIALOGUES INSOLITES - Petites histoires BioDivertissantes
Exposition thématique 2024-2025 de la Bibliothèque de la Cité en partenariat avec le MHN (Muséum d'Histoire Naturelle) et L'ESBDI (École supérieure de bande dessinée et d'illustration)
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Petites histoires BioDivertissantes
Des bandes dessinées et des animaux taxidermisés créent des Dialogues insolites au Multi, au rez-de-chaussée de la bibliothèque de la Cité, à partir du 12 octobre jusqu'au 21 juin 2025.
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Le choc des images nous fait-il du bien ?
« Discussion concernée » sur les perspectives environnementales
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Dialogues insolites - La migration des animaux du Muséum
Une installation photographique dans le parc des Bastions retrace le déménagement des animaux du Muséum depuis les Bastions jusqu'à Malagnou.
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Mes équipements et matériels : réparer plutôt que jeter, je maîtrise !
Consommer mieux, vaste sujet dans notre société.Oui, certains fabricants réduisent volontairement la durée de vie de leurs produits pour accélérer les rachats. Mais notre part de responsabilité est plus forte que nous ne le pensons, et nos moyens d’action sont nombreux et faciles. Souvent nous achetons mal, de mauvaise qualité, et inutilement trop. Beaucoup de nos équipements sont peu utilisés. Tout achat inutile, ou tout produit jeté trop tôt gaspille une grande quantité d’énergie et génère de la pollution. C’est ce qu’on appelle l’énergie grise. Prolonger la durée de vie de mes objets évite ou retarde l’utilisation de précieuses ressources et l’émission de CO2. L’exception ? Les produits nécessaires, mais obsolètes et énergétivores. La durabilité au quotidien, c’est d’abord le bon choix, puis un bon usage avec un bon entretien et, enfin, la réparation tant que c’est possible. Réparer soi-même, c’est gagner en pouvoir d’achat et en autonomie, et acquérir de nouvelles compétences. Et qui sait, je vais peut-être me découvrir créati-f-ve pour améliorer et personnaliser mes objets.Ceci dit, attention à ne pas se mettre en danger, notamment avec ce qui est électrique ou qui risque de blesser si mal réparé. Attention également aux tutoriels où tout semble simple, mais avec un risque d’erreurs qui reste présent. Si les compétences me manquent, je fais réparer mes objets chez un-e spécialiste ou j’en rencontre lors de Repairs cafés. Une belle expérience, à faire et refaire !

Je m'engage dans une épicerie participative
Qu’est-ce qu’une épicerie participative ? Il s’agit d’un magasin alimentaire, souvent organisé sous la forme juridique d’une coopérative, dans laquelle les coopératrices et coopérateurs s’engagent à travailler bénévolement quelques heures par mois (entre 2 et 3 heures selon les coopératives) pour assurer le bon fonctionnement de l’épicerie. Si la première épicerie coopérative est née à Brooklyn en 1973, aujourd’hui de nombreux magasins s’inspirant de ce modèle ouvrent leurs portes en Europe, en Suisse romande et bien sûr à Genève. Le but de ces magasins est de rendre accessible au plus grand nombre des produits de qualité. En effet, elles proposent des produits locaux, de saison, issus d’une agriculture responsable et parfois en vrac. Le travail des bénévoles permet de réduire les marges et donc d’offrir des prix plus abordables. Il permet également aux membres de la coopérative de consommer de manière plus réfléchie, d'assurer la qualité de leur alimentation et de savoir mieux le communiquer aux clients. Les épiceries sont souvent un lieu d’échange et de rencontre. Elles resserrent le lien entre ville et campagne. Alors si ce modèle vous intéresse, n'hésitez pas à aller leur rendre visite et pourquoi pas à devenir membre d’une épicerie coopérative.

Je décide de réduire et de mieux gérer ma consommation de poisson
Pour manger moins de viande, on aurait tendance à se rabattre sur le poisson. Malheureusement, ce n’est pas si simple. Oui, le poids sur la planète de la viande, notamment de bœuf, est très lourd. Mais nous devons aussi réduire notre consommation de poissons et crustacés. En Suisse, nous en consommons 9 kgs par personne et par an, une augmentation de 60% en 25 ans. Moins connu, nous importons 96% de cette consommation. Pour répondre à la demande, les méthodes de pêche se sont fortement intensifiées, certaines dévastatrices. 1/3 des stocks de poissons sont en surpêche. L’aquaculture ? Elle fournit la moitié de notre consommation mais génère des problèmes de pollution et de santé. Et ce que l’on sait moins c’est que les poissons d’élevage sont généralement nourris avec de la farine ou de l’huile de poisson. 1 kg de poisson d’élevage, c’est 2 kgs de poisson sauvage – c’est le poisson qui se mord la queue. On ignore aussi souvent qu’1/3 des déchets plastiques en mer proviennent de la pêche. Chaque année, des milliers d’animaux sont tués ou blessés par des filets flottants. Ces déchets contribuent à la génération de microplastiques, cette pollution insidieuse qui se répand partout. On ignore encore quels seront ses effets à long terme sur la santé des humains et des animaux. Bref, le poisson le plus écologique est bien celui que l’on ne mange pas. L’idéal serait d’arrêter complètement, ou tout au moins de réduire sérieusement afin de préserver l’environnement et sa propre santé.
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