PRO VELO Genève - Pour que tout le monde puisse rouler à vélo en sécurité


PRO VELO - Utiliser son vélo au quotidien



L'association
Créée en 1980 sous le nom de l'ASPIC («Association Pour les Intérêts des Cyclistes»), l'association PRO VELO Genève est un acteur incontournable matière de mobilité


Nous travaillons activement à promouvoir l'utilisation quotidienne du vélo comme moyen de transport respectueux de l'environnement, sain, rapide, silencieux, peu encombrant et bon marché, en ville et dans le canton Genève, ainsi que plus largement dans la région genevoise


 


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Recommendé pour les actions

Transition participative

J'organise un Bike to work pour juin

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La Campagne #3 d’agirageneve me propose de pratiquer un Bike to work avec mon entreprise ou mon organisation. Déjà plus de 3'000 l’ont vécu. Nous pouvons l’organiser en mai et le pratiquer en juin. Le calendrier est exactement le bon. De plus en plus de gens se rendent à vélo au travail. Intéressé-e ? OK. Mais c’est quoi un Bike to Work ? C’est une action nationale de promotion de la santé, de la durabilité et de l’esprit d’équipe dans les entreprises. Elle se déroule chaque année en mai-juin. Le but : rouler le plus grand nombre de jours de travail, au choix sur les 2 mois, ou uniquement en juin, le temps de l’organiser. Pour vivre un Bike to work, il suffit de former une équipe, de l’inscrire et de savourer ces moments de plein air avant le travail ! C’est l’occasion d’apprendre à apprécier de se déplacer à vélo. Et faire du vélo c’est faire du bien à son corps, mais aussi à l'environnement. De nos jours, il est plus que nécessaire de s’adapter à des modes de vie qui ne dépendent plus des énergies fossiles. Et un trajet de 20 mn à vélo sécrète de la sérotonine dans mon corps. Meilleure concentration, sentiment de bien-être augmenté, rien de mieux pour commencer la journée. Mon trajet est trop long ? J’alterne et/ou je combine avec les transports en commun, l’idée est de profiter et faire au mieux. Et il y a un tirage au sort et des prix ! Rendez-vous sur Bike to Work, un chouette défi à relever pour le plaisir, et pour promouvoir le vélo, le bien-être et la convivialité ! 

Transition participative

Je ne suis pas encore vélo ? J’expérimente !

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Je n’ai jamais trop pratiqué, ou ça date, le vélo n’est pour l’instant pas dans ma vie ? J’ai envie d’expérimenter quelques sorties pour voir si je suis intéressé à pratiquer plus régulièrement ? Il y a des solutions pratiques pour ce faire. Le plus simple est de suivre trois étapes. Je me prépare. J’organise mes premières sorties. Et je fais le point pour la suite. Je me prépareJ’évalue ma condition physique et mes capacités. Si nécessaire je m’inscris à un cours de remise en selle. Facile, efficace et une belle occasion de rencontres dans ce monde que je ne pratique pas ou plus. Et je choisis mon équipement, vêtements adaptés, gourde, petit sac à dos, sans oublier un casque. J’organise mes premières sortiesSeul-e ou à plusieurs, je découvre et j’utilise les moyens de Vélo partage à Genève. Une belle offre est à ma disposition. Pour un trajet courte durée, par exemple avec Donkey Republic.Pour une location de plus longue durée, ou même un prêt, par exemple avec Genève Roule ou La Bicyclette Bleue. Et si c’est positif, je m’inscris à une sortie ou un évènement, l’occasion de partager une expérience collective enrichissante. Agirageneve me propose une action pour m’aider à choisir, c’est ici. Et je fais le pointConvaincu-e, envie de continuer ? Je reste en location, ou je décide d’acheter un vélo. L’offre neuve est sans limite. L’offre d’occasions révisées est florissante, et encore plus écologique !Presque tout est dans les liens ci-dessous. Bonne remise en selle !

Transition participative

Je découvre des sorties à vélo étonnantes

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Je vois le vélo comme un moyen de transport parmi d’autres, peut-être avec l’image d’un effort à produire avec des désagréments, par exemple quand il pleut ? Ou uniquement comme un loisir, pour des balades en campagne le week-end ? Pourtant, il peut aussi me faire vivre des expériences étonnantes. Il existe à Genève tout au long de l’année des évènements vélos, des rencontres, des balades thématiques surprenantes. J’y participe ? Je vais voir et vivre mon vélo autrement. Ludique, tonique, chaleureux, enrichissant. Et avec de belles rencontres. Des exemples ? La Journée Internationale du Vélo est l’occasion à Genève de plusieurs évènements chaleureux, avec même des croissants offerts sur la Voie Verte ! Plusieurs fois dans l’année, les Samedis du Vélo sont l’occasion d’une belle sortie, de rencontres et de partages tout naturels. Et il y a même du culturel, qui l’eut cru ? Des expositions, comme Equilibre en mouvement. Ou des Vélotours de découverte culturelle. Cette année dans les Samedis du vélo, je trouve des thématiques aussi diverses que la biodiversité urbaine ou la littérature indienne. Les enfants ? Chaque année, la Kidical Mass les réunit dans un bel évènement, accompagnés de leurs parents ou référents. Tellement fiers d’y participer ! Je peux même organiser un évènement vélo sur mesure pour mes amis, mon entreprise ou mon association. Toute une série d’opportunités pour que le vélo trouve une belle place dans ma vie quotidienne. A moi de me mettre en selle, autrement.

Transition participative

Je remets mon vélo en bon état pour rouler en sécurité

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J'ai déjà un vélo et je souhaite le re-découvrir, ou renforcer son usage ? Première étape, je m’assure qu’il est en bon état. Plaisir, et bien sûr sécurité. Facile, normalement peu cher, et indispensable. Je peux le faire moi-même, si nécessaire avec quelques tutos. Si des réparations exigent des outils ou des compétences dont je ne dispose pas, Genève offre un choix incroyable. (Presque) tout est dans les liens ci-dessous ! Des ateliers coopératifs en libre-service, avec ou sans conseils et assistance. Des évènements, où des spécialistes sont à disposition. Et bien sûr des ateliers où je peux tout sous-traiter. Il y en a même qui se déplacent. Les priorités sont claires. Etat des pneus et gonflage. Freins. Chaîne, pignons et dérailleur. Eclairage. Anti-vol. Et mon équipement, casque compris. Et s’il est électrique, il existe des cours ou des tutos spécialisés. Y compris comment bien charger et prendre soin de la batterie, un acte écologique efficace. Apprendre à entretenir son vélo c’est gagner en autonomie et en liberté ! Fini la crainte de crever ou de dérailler. Et pour la conduite, je peux prendre des cours, privés ou en famille, pour plus de plaisir, de sécurité et prolonger la vie de mon compagnon 😊. Tout un choix dans les liens ci-dessous !Prêt ? En selle ! Et si c’est un re-démarrage, je suis vigilant lors de mes premiers déplacements et je reprends de bonnes habitudes de sécurité. Dernier clin d’œil : je dispose même de pompes à vélo dans Genève !

Mobilité

Je me renseigne sur la mobilité responsable

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Se rendre au travail, aller faire nos courses, partir en vacances, rejoindre les lieux de nos hobbys du soir et du weekend… Tout déplacement engendre des impacts sur l’environnement : émissions de gaz à effet de serre (GES), particules fines, gaz toxiques, bruit, réseaux routiers qui transforment le territoire, etc. La fabrication et l’utilisation de nos véhicules agissent donc directement sur les pollutions que sur le réchauffement climatique. En Suisse, les taux de pollution de l’air sont déjà suffisamment élevés pour impacter négativement notre santé. Maladies respiratoires mais aussi décès prématurés : la pollution atmosphérique diminue l’espérance de vie. En ce qui concerne les émissions de GES, en Ville de Genève, la mobilité, autrement dit nos déplacements, sont à l’origine de 27 % des émissions de GES des habitant-e-s (26 % à l’échelle du Canton). Si les déplacements aériens (17%) ont un fort impact, la mobilité terrestre (10 %) est elle aussi importante. Les transports individuels motorisés dominés par les voitures à essence et diesel sont le contributeur principal des émissions liées à la mobilité terrestre. En changeant quelques habitudes quotidiennes, il est facile de réduire ces émissions sans diminuer notre niveau de confort. Il existe même des astuces qui permettent également d’économiser du temps et de l’argent. Marche à pied, utilisation du vélo ou déplacements en transports public : toute une série d’actions sont à ma disposition

Mobilité

 Je me renseigne sur la mobilité responsable

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Se rendre au travail, aller faire nos courses, partir en vacances, rejoindre les lieux de nos hobbys du soir et du weekend… Tout déplacement engendre des impacts sur l’environnement : émissions de gaz à effet de serre (GES), particules fines, gaz toxiques, bruit, réseaux routiers qui transforment le territoire, etc. La fabrication et l’utilisation de nos véhicules agissent donc directement sur les pollutions que sur le réchauffement climatique. En Suisse, les taux de pollution de l’air sont déjà suffisamment élevés pour impacter négativement notre santé. Maladies respiratoires mais aussi décès prématurés : la pollution atmosphérique diminue l’espérance de vie. En ce qui concerne les émissions de GES, en Ville de Genève, la mobilité, autrement dit nos déplacements, sont à l’origine de 27 % des émissions de GES des habitant-e-s (26 % à l’échelle du Canton). Si les déplacements aériens (17%) ont un fort impact, la mobilité terrestre (10 %) est elle aussi importante. Les transports individuels motorisés dominés par les voitures à essence et diesel sont le contributeur principal des émissions liées à la mobilité terrestre. En changeant quelques habitudes quotidiennes, il est facile de réduire ces émissions sans diminuer notre niveau de confort. Il existe même des astuces qui permettent également d’économiser du temps et de l’argent. Marche à pied, utilisation du vélo ou déplacements en transports public : toute une série d’actions sont à ma disposition. 

Mobilité

J’utilise le vélo pour aller au travail ou en cours

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Quotidiennement, nous nous déplaçons pour rejoindre notre lieu de travail ou d’études, et cela engendre des émissions de gaz à effet de serre et diverses pollutions. Faire ces trajets à vélo une à plusieurs fois par semaine a beaucoup de bénéfices, en plus de réduire notre impact environnemental.  Tout d’abord, qu’on aille vite ou lentement, exercer une activité musculaire est sain. Aussi, comme notre environnement agit directement sur nous, moins de pollution signifie également une meilleure santé pour tous et toutes, car la qualité de l’air en est améliorée !  Ensuite, pour les courtes distances, en ville d’autant plus, je gagne du temps par rapport à une voiture en évitant les embouteillages ou la recherche interminable d’une place de parc.  Finalement j’économise de l’essence, je suis en meilleure forme et je n’hésite plus quand ce morceau de tarte me fait de l’œil, bio et local, va sans dire ;) Et si je ne possède pas de vélo ou si je souhaite simplement faire un tour à Genève, il existe différentes possibilités d'emprunter, de partager ou d'acheter un vélo d'occasion dans une bourse aux vélos. Le vélo, c’est tout un monde et une manière de vivre : je me renseigne et je découvre sa richesse !

Mobilité

J'entretiens et je répare mon vélo 

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Afin d’allonger la durée de vie de mon vélo et pour ma sécurité, il est utile de l’entretenir régulièrement.  Lors de mes déplacements je porte une attention particulière aux freins et à la stabilité de mon vélo. Pour plus de confort, je contrôle régulièrement la pression des pneus pour être dans la fourchette indiquée sur le pneu. Si je ne dispose pas de pompe à domicile, je peux utiliser les bornes de gonflage pour vélo de la commune. Tu les trouves dans les liens.  S’il est électrique, je sais comment bien charger, décharger et prendre soin de sa batterie. Prolonger sa durée de vie est un acte écologique efficace. Certains gestes peuvent entrer dans une routine, comme nettoyer puis huiler sa chaine. Cela est d’autant plus important à l’orée de l’automne lorsque les précipitations s’accroissent, ce qui la protègera de l’humidité.  Lorsque l’entretien ou des réparations exigent des outils dont je ne dispose pas, certaines associations cyclistes offrent des ateliers de mécanique en libre-service. Par ailleurs, apprendre à réparer son vélo c’est gagner en autonomie et en liberté ! Fini la peur de crever : je suis pro-acti-f-ve, je prends des cours d’entretien et de réparation pour plus de plaisir et prolonger la vie de mon compagnon de route. :) 

Mobilité

J’organise une action Bike to Work sur mon lieu de travail ou d’étude

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Vous connaissez Bike to Work ? C’est une action nationale de promotion de la santé, de la durabilité et de l’esprit d’équipe dans les entreprises. Elle se déroule chaque année pendant les mois de mai et juin. Le but : rouler le plus grand nombre de jours de travail pendant ces mois. De plus en plus de gens se rendent à vélo au travail. Pour celles et ceux qui le font déjà, il ne vous reste qu’à former une équipe, inscrire votre entreprise et savourer ces moments de plein air avant le travail !  Pour les autres, c’est l’occasion de sauter le pas, créer ou rejoindre une équipe et relever le défi avec vos collègues. Votre trajet est trop long ? Alternez et/ou combinez avec les transports en commun, l’idée est de profiter et faire au mieux. Et des prix et un tirage au sort vous attendent !  Le saviez-vous ? Un trajet de 20 mns à vélo permet déjà de sécréter de la sérotonine dans notre corps. Effets positifs : une meilleure concentration et un sentiment de bien-être augmenté. Qui dit mieux pour commencer sa journée ?  Participer à Bike to Work c’est aussi l’occasion d’apprendre à apprécier de se déplacer à vélo. Faire du vélo c’est faire du bien à son corps, mais aussi à l'environnement. De nos jours, il est plus que nécessaire de s’adapter à des modes de vie qui ne dépendent plus des énergies fossiles et ne contribuent pas à aggraver la situation climatique. Rendez-vous sur Bike to Work, un chouette défi à relever pour promouvoir le vélo, le bien-être et la convivialité ! 

Mobilité

Je renonce à posséder une voiture

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Dans le bilan carbone de la Ville de Genève, presque un dixième des émissions de GES est dû aux déplacements de personnes. Et les transports individuels motorisés dominés par les voitures à essence et diesel représentent le contributeur principal de ces émissions. L'utilisation quotidienne de la voiture émet une grande quantité de GES et contribue de façon significative à l'empreinte carbone du conducteur ou de la conductrice. De plus, en 2015, plus de 50% des déplacements effectués en voiture dans le canton portait sur des distances inférieures à 5 km (30% moins de 3 km). Je peux d'ailleurs évaluer cette part déplacements dans mon empreinte à l'aide du calculateur NosGestesClimat. En milieu urbain c’est nettement plus facile de favoriser la mobilité douce. De plus en plus de ménages à Genève ne possèdent pas de voiture. En 2015, ils étaient 41% et ce taux continue de croître.  Pour le TCS, posséder une voiture c’est environ 10'000 Frs. par an. Je peux donc faire des économies mais aussi constater des bienfaits pour ma santé et avec moins de stress. J’ai un bien de moins à entretenir et à assurer, je supprime un investissement qui perd constamment de la valeur. Autant d’avantages. Il existe de nombreuses possibilités pour vivre sans voiture à Genève : transports publics, vélo, marche, mais aussi co-voiturage ou autopartage. A essayer sans autre !  Et si je faisais un test en me passant de voiture pendant 3 mois ? Très souvent, après une période d’adaptation, on constate que c’est beaucoup plus facile qu’on ne le pensait ! Et la décision définitive est facilitée d’autant.