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Restons dans l'IA. L'annonce d'un service 100% suisse dans le domaine du droit. Pour agirageneve, et probablement pour chacun de nous, le choix intéressant de cette start-up est son respect de la vie privée, des données, et donc de... la démocratie. Dans de mauvaises mains, le risque de l'IA est qu’elle nous ballade sérieusement. Pas de durabilité sans éthique. En ce sens, bravo aux 2 fondatrices
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L'IA, ses impacts sur notre "pensée". Une étude de l'EPFZ. Là où les IA ne s'aventurent pas encore, et dans les domaines où elles le font, les conseils qu’elles nous donnent. Le risque ? Une pensée normalisée, moyenne. Oui, « calme ». Mais est-ce adapté aux domaines en mouvement, comme la transition ? Où les divergences sont utiles pour générer un vrai débat par cette diversité même ?
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Un article du Monde, éclairant. Un vol en avion. Combien de temps cela prend pour le compenser par un engagement réducteur de CO2 particulier, comme de réduire son chauffage, se nourrir localement ou abandonner sa voiture. Très clair pour réaliser le poids de l'empreinte de l'avion. Alors voir sa famille qui vit sur un autre continent une fois par an, OK, peut-être. Mais des week-ends à Ibiza...
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L’agroalimentaire. Une part significative de notre empreinte sur la planète, aussi divers qu’en eau, intrants polluants, plastique, déforestations et autres. Deux ONG ont évalué solidement les rapports et les engagements en durabilité des 5 leaders mondiaux : Danone, JBS, Mars, Nestlé et PepsiCo. Clairement, peut – et doit - mieux faire, même si certains font mieux que d’autres. A lire !
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Le tabagisme. Nous sommes demandeurs de mesures de protection plus strictes. Une bonne chose, les méfaits du tabac sont lourds et d'autant plus néfastes que l'on commence jeune. Mais il est aussi intéressant de constater notre... faiblesse. Comme en transition, nous protéger nous-même, agir durablement n’est pas simple. Equilibre délicat entre se responsabiliser ou demander un état fort
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Le tourisme de masse. Un phénomène qui ne se calme pas. Ibiza prend aussi des décisions, après d'autres lieux tels que Venise ou Dubrovnik. Ça devrait pourtant être simple de réduire ces empreintes lourdes et souvent frivoles. Eh bien non. Et les vols avions sont revenus au-dessus de leur niveau pré-Covid, majoritairement tourisme, jeunes et trentenaires. Et moi, je participe de ces foules ?
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Agirageneve communique souvent sur les nanoparticules plastique, très soucieuses. Voici un zoom éclairant sur la difficulté de comprendre les conséquences de nos productions somme toute de pur plaisir, sans nécessité, amusantes mais malheureusement lourdes de conséquences pour la planète, et donc pour la biodiversité et… nous. Les paillettes ! Pour notre peau, nos ongles ou autres. A lire !
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Genève, les transports disponibles vers ses plages en cette période chaude qui appelle à la baignade. Excellente nouvelle, une ligne de bus supplémentaire, spéciale plages, est ouverte ! Vraiment plus d'excuses si elle vous est accessible pour profiter durablement du lac. A tester, à consommer sans modération. Bons bains cet été !
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Dossier Comprendre - Je découvre la thématique du plastique dans les lacs et les rivières

Je réduis fortement mes achats de plastique

Les micro et les nano-plastiques - La (très) grosse pollution à bas bruit

C'est décidé, l'Europe pour moi, c'est sans avion !
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Janus au Bioparc
Partenaire de longue date, le Bioparc a accepté avec enthousiasme d'héberger notre tortue bicéphale jusqu’à la fin des travaux du Muséum, en raison de sa sensibilité aux vibrations.
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Dialogues insolites
Cette exposition, disséminée dans la ville sous forme de petites installations, est réalisée dans le cadre de la fermeture temporaire du Muséum d’histoire naturelle de Genève (MHNG).
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Dialogues insolites
Le Muséum d'histoire naturelle s'invite aux Conservatoire et Jardin botaniques et propose un regard croisé sur les spécimens et les collections des deux institutions scientifiques.
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DIALOGUES INSOLITES - Petites histoires BioDivertissantes
Exposition thématique 2024-2025 de la Bibliothèque de la Cité en partenariat avec le MHN (Muséum d'Histoire Naturelle) et L'ESBDI (École supérieure de bande dessinée et d'illustration)
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Petites histoires BioDivertissantes
Des bandes dessinées et des animaux taxidermisés créent des Dialogues insolites au Multi, au rez-de-chaussée de la bibliothèque de la Cité, à partir du 12 octobre jusqu'au 21 juin 2025.
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Le choc des images nous fait-il du bien ?
« Discussion concernée » sur les perspectives environnementales
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Dialogues insolites - La migration des animaux du Muséum
Une installation photographique dans le parc des Bastions retrace le déménagement des animaux du Muséum depuis les Bastions jusqu'à Malagnou.
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Je décide de réduire et de mieux gérer ma consommation de poisson
Pour manger moins de viande, on aurait tendance à se rabattre sur le poisson. Malheureusement, ce n’est pas si simple. Oui, le poids sur la planète de la viande, notamment de bœuf, est très lourd. Mais nous devons aussi réduire notre consommation de poissons et crustacés. En Suisse, nous en consommons 9 kgs par personne et par an, une augmentation de 60% en 25 ans. Moins connu, nous importons 96% de cette consommation. Pour répondre à la demande, les méthodes de pêche se sont fortement intensifiées, certaines dévastatrices. 1/3 des stocks de poissons sont en surpêche. L’aquaculture ? Elle fournit la moitié de notre consommation mais génère des problèmes de pollution et de santé. Et ce que l’on sait moins c’est que les poissons d’élevage sont généralement nourris avec de la farine ou de l’huile de poisson. 1 kg de poisson d’élevage, c’est 2 kgs de poisson sauvage – c’est le poisson qui se mord la queue. On ignore aussi souvent qu’1/3 des déchets plastiques en mer proviennent de la pêche. Chaque année, des milliers d’animaux sont tués ou blessés par des filets flottants. Ces déchets contribuent à la génération de microplastiques, cette pollution insidieuse qui se répand partout. On ignore encore quels seront ses effets à long terme sur la santé des humains et des animaux. Bref, le poisson le plus écologique est bien celui que l’on ne mange pas. L’idéal serait d’arrêter complètement, ou tout au moins de réduire sérieusement afin de préserver l’environnement et sa propre santé.

Je ne suis pas encore (ou je ne suis plus) vélo ? J’expérimente !
Une envie de vélo ? J'expérimente quelques sorties et je m'y remets. Il y a d'excellentes raisons pour ça. Des raisons personnellesC'est bon pour ma santé. Un exercice sympa et gratifiant.Une autre manière de voir la ville, les ballades et... la vie, à un rythme moins rapide que la voiture qui nous isole et coupe de ce qui est là.C'est aussi l'opportunité de sorties de groupes et de nouvelles rencontres. Des progrès confort et efficacitéLe choix et la qualité des vélos a explosé, et ainsi que les équipements. Casques, éclairages, vêtements super pratiques pour aller au travail et arriver tout présentable... Et il y a des applis d'aide à la circulation conçues pour le vélo, comme celle-ci, gratuite. Des progrès sécuritéLe multi-modal de déploie après 50 ans d'exclusivité voiture. Le nombre d'accidents vélo a augmenté, mais un pic semble avoir été franchi. Leur première cause est le manque d'attention, les écouteurs ou le smartphone. Ce qui, en creux, est une raison de m'y mettre si je m'engage à le faire avec vigilance ! Un bel impact pour la planèteLe vélo pollue tellement moins ! Tout km de voiture économisé est largement bénéfique. Un zoom particulier ? On prend enfin conscience de l'énorme quantité de microparticules émise par l'usure des pneus de voiture. Je me décide ?Ce n'est donc pas pour rien que le nombre de pratiquants se développe. Tout bénéfice, pour moi, mes proches et la planète. Je teste et je saurai pourquoi le vélo plaît tellement

J’adopte des astuces pour utiliser le pain sec au lieu de le jeter
Quel est, selon vous, la quantité de pain gaspillée en Suisse ? Sur le 2,8 millions de tonnes de nourrriture perdus chaque année en Suisse, 55% sont des produits de boulangerie. La moitié en est perdue dans l'étape transformation, mais près de 40% du pain et des pâtisseries sont jetés par nous, les consommateurs. Et comme expliqué dans l'action de découverte de notre gaspillage alimentaire, en réduisant nos déchets alimentaires, nous pouvons économiser jusqu'à 600 francs suisses par personne et par an, diminuer considérablement nos émissions CO2 et contribuer à la sécurité de l’approvisionnement alimentaire. Trouver des solutions pour utiliser le pain sec est un bon point de départ Les astuces sont souvent faciles à mettre en œuvre et les recettes délicieuses. Vous avez tout plein de suggestions dans les liens et les gestes ci-dessous.
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