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Le plastique et sa dégradation. Une bonne nouvelle, quand bien même encore à prendre avec prudence. Il existerait un champignon mangeur de plastique, même en milieu sans oxygène, et donc qui serait efficace en enfouissement. On se réjouit si cela se confirmait et devenait industriel. Même si le meilleur plastique restera toujours celui que nous n'aurons pas produit et donc acheté...
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En anglais, un article sur une R et D en cours en Corée du Sud. Des scientifiques ont créé et testent un dispositif de ramassage de plastique flottant, et capable de le transformer en hydrogène par l'énergie solaire. De ces travaux qui, eux, donnent de l'espoir. Chapeau bas à l'armée de chercheurs, souvent inconnus, qui, eux, contribuent à l'espoir et à la durabilité de notre monde de demain
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"Nourrir, pas empoisonner". La loi Duplomb en France fait face à une pétition citoyenne très suivie. Eh bien, les grands chefs prennent eux aussi la parole dans un métier traditionnellement discret sur la transition durable. Beaucoup privilégient déjà des produits locaux et bios, mais sans communiquer en tant que profession. 400 chefs ont signé un beau texte. Oui, la société civile bouge !
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Les réseaux sociaux. Nous savons leur effet délétère, l'agressivité croissante de messages en réponse à des partages, quand bien même respectueux de l'avis de chacun. Critiquer des prises de position, pourquoi pas, avec la forme dans ce cas. Mais nier l'évidence, le réel qui est là... Simplement parler de canicule devient source d'agressions. Et moi, quel est mon « style » ?
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Un avis qui aura des conséquences fortes et intéressantes. La Cour internationale de justice a conclu que les pays se doivent de protéger le système climatique. Les textes allaient déjà dans ce sens avec le principe de précaution, mais ils étaient peu simples à activer. Suite à une demande d’étudiants du Vanuatu, état victime de la montée des océans, c'est chose faite. Jurisprudence à suivre
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Le plastique. Nouveau jour noir. Les négociations organisées par l'ONU avec 183 pays se terminent en échec. D'un côté des pays ambitieux pour enfin agir sur ce fléau de pollution et d'intrusion dans le vivant, à tous les niveaux, et dont les projections de croissance sont irrecevables. D'autre part les pays pétroliers, qui ne voient que le profit court terme. Il faut nous réveiller !
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Les transports publics genevois sont gratuits ce mercredi 13 août, et seuls les véhicules les moins polluants peuvent circuler au centre du Canton, ceux équipés d'un Stick'AIR de valeur 0, 1, 2 ou 3. C'est une première. Le mécanisme concerné, prévu depuis 2020, se déclenche pour contribuer à réduire le niveau de pollution quand la concentration d'ozone devient trop élevée, au dessus de 180 µg/m3
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Encore une aberration difficile à comprendre, comme les faibles taxes sur l’aérien. Celles sur le plastique ont baissé en 30 ans de 34% à un peu plus de 7%. Et celles sur les produits de substitution, fibres naturelles ou algues, sont aux alentours de 15%. Félicitations au lobby pétrolier, et questionnement, si pas incompréhension sur l'action de nos décideurs politiques. A quand le bon sens ?
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Dossier Comprendre - Je découvre la thématique du plastique dans les lacs et les rivières

Je réduis fortement mes achats de plastique

Les micro et les nano-plastiques - La (très) grosse pollution à bas bruit

C'est décidé, l'Europe pour moi, c'est sans avion !
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Janus au Bioparc
Partenaire de longue date, le Bioparc a accepté avec enthousiasme d'héberger notre tortue bicéphale jusqu’à la fin des travaux du Muséum, en raison de sa sensibilité aux vibrations.
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Dialogues insolites
Cette exposition, disséminée dans la ville sous forme de petites installations, est réalisée dans le cadre de la fermeture temporaire du Muséum d’histoire naturelle de Genève (MHNG).
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Dialogues insolites
Le Muséum d'histoire naturelle s'invite aux Conservatoire et Jardin botaniques et propose un regard croisé sur les spécimens et les collections des deux institutions scientifiques.
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DIALOGUES INSOLITES - Petites histoires BioDivertissantes
Exposition thématique 2024-2025 de la Bibliothèque de la Cité en partenariat avec le MHN (Muséum d'Histoire Naturelle) et L'ESBDI (École supérieure de bande dessinée et d'illustration)
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Petites histoires BioDivertissantes
Des bandes dessinées et des animaux taxidermisés créent des Dialogues insolites au Multi, au rez-de-chaussée de la bibliothèque de la Cité, à partir du 12 octobre jusqu'au 21 juin 2025.
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Le choc des images nous fait-il du bien ?
« Discussion concernée » sur les perspectives environnementales
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Dialogues insolites - La migration des animaux du Muséum
Une installation photographique dans le parc des Bastions retrace le déménagement des animaux du Muséum depuis les Bastions jusqu'à Malagnou.
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Je réduis la publicité dans ma boîte à lettres
La publicité, les magazines ou les journaux indésirables reçus dans nos boîtes aux lettres. Selon la FRC, en Suisse romande, nous recevons entre 36 et 60 kg de papiers indésirables par an. C’est vraiment beaucoup… trop : la grande majorité d’entre nous ne les consulte pas et ne souhaite pas les recevoir. Il semble y avoir plusieurs parades. L’autocollant « Pas de publicité ». Ou pour le GHI, la possibilité de demander de ne pas en être destinataire, avec une pastille rouge à mettre sur sa boîte. Mais ce n’est pas si simple. Les spécialistes du marketing papier trouvent de nouvelles méthodes pour passer outre. Comme de glisser les publicités dans des journaux ou revues. Ou de faire de l’adressage personnel. Pour beaucoup d’entre nous, c’est pénible et surtout ça génère une perte en papier, recyclé ou pas. Un arbre c’est seulement 8500 feuilles. Et le recyclé n’est pas magique. C’est moins d’arbres mais c’est beaucoup d’énergie et de CO2, et un circuit de recyclage surchargé. D’autant que ces publicités participent d’une mentalité dépassée. Il y aurait toujours « l’affaire à saisir absolument », qu’on en ait besoin ou pas ? Ou il faudrait de fait remplacer ses équipements très fréquemment pour rester dans la tendance ? Bref, on est bien dans la surconsommation encouragée. Alors oui, je décide de faire ce qui doit être fait. Autocollant, et mails aux annonceurs leur demandant de cesser cette pratique. Ensemble, on ira plus loin dans ce domaine… agaçant !

Je m'engage dans la création de micro-forêts en ville
Le réchauffement est là, entre 1,5 et 2,9 °C en Suisse. Les canicules sont plus fréquentes. Le phénomène est plus fort dans certains espaces notamment en montagne, mais surtout en ville. Les techniques d’urbanisation commencent à bouger dans les pays les plus engagés. Végétalisation des toits, de certaines façades, peintures réfléchissantes, matériaux moins absorbants… Et il y a les micro-forêts en ville, des ilots de micro climat à l'inverse des ilots de chaleur. On attribue leur paternité au botaniste japonais Akira Miyawaki. Pourquoi ça fonctionne ? Parce qu’un arbre est un climatiseur à lui tout seul, plus exactement l’équivalent de 5 climatiseurs. Il abaisse la température par son ombre, mais aussi par le microclimat qu’il crée autour de lui. Il absorbe du CO2, en gros 30 kg par an. Il facilite l'infiltration des eaux de pluie. Il abrite une quantité de vie phénoménale, oiseaux, insectes, mais aussi dans le sol micro-organismes, champignons et bactéries. Et en plus, il est beau ! La dynamique des micro-forêts urbaines qui se déploie depuis 10 ans a pour ambition d’implanter rapidement un grand nombre de relativement petits espaces faciles à créer et d’une certaine manière autosuffisants, mais néanmoins, terriblement généreux ! Tout un mouvement, toute une dynamique a démarré avec des savoirs, des savoir-faire et des associations qui œuvrent à changer et à rendre nos villes plus vivables. A moi de décider d’y participer.

Je participe activement aux initiatives de lutte contre le gaspillage alimentaire
Nous savons qu'un tiers des denrées alimentaires est perdu et qu’il y a beaucoup de mesures que nous pouvons prendre pour réduire ce phénomène dans notre propre consommation. Mais un autre endroit où la nourriture est perdue est dans les magasins, les restaurants et les collectivités. Pour beaucoup de commerçant-e-s et de professionnel-le-s, il est difficile d’estimer avec exactitude les quantités à acheter, et particulièrement pour les denrées périssables. Un moyen de remédier à ce gaspillage de bons produits en bout de chaine est d’utiliser l’application pour smartphone « Too Good To Go ». Elle indique les invendus des commerces, restaurants, boulangeries, etc. D’une pierre deux coups, vous réduisez les pertes alimentaires qui représente un gaspillage important des ressources utilisées pour les produire (sols, eau, énergie) et vous économisez de l’argent puisque ces produits sont vendus à prix réduit. Genève dispose d’autres initiatives de lutte contre le gaspillage alimentaire, comme la Banque alimentaire genevoise. Et la Ville soutient différents projets, comme :- Free-Go - Un réseau de réfrigérateurs en libre-service, où les denrées périssables des ménages sont récupérées et offertes gratuitement à tous et toutes- Refettorio - Un restaurant durable, social et inclusif. Il s'engage en faveur d'une circularité des produits et du zéro-gaspillage, favorise l’accès à une alimentation équilibrée aux personnes en situation de précarité et offre des emplois d’intégration.
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