ge-reutilise - Tout le répertoire de la seconde main et de la location

RÉUTILISER PLUTÔT QU'ACHETER NEUF


Le répertoire de la seconde main et de la location d'objets à Genève



« ge-reutilise » est un projet du Service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève, de la section genevoise de la Fédération romande des consommateurs (FRC), et des communes de Bernex, Carouge, Grand-Saconnex, Lancy, Meyrin, Onex, Plan-les-Ouates, Vernier et Versoix. Il encourage les consommatrices et consommateurs à réutiliser les objets plutôt qu’acheter des objets neufs. A cette fin, il met à disposition du public des adresses de commerces, entreprises, associations, marchés réguliers actifs dans la seconde main (deuxième main) ou la location d’objets situés sur le territoire des communes partenaires. 



[Nota bene: Il ne nous est pas possible de répertorier la grande diversité d’objets proposés en seconde main ou en location. Pour profiter au mieux du moteur de recherche, faire d’abord une recherche par catégorie d’objets (par exemple « vêtements », plutôt qu’un habit particulier comme « pantalon »).]

Recommendé pour les actions

Biens de consommation

Impact Hub – Défi carbone – Ton Défi #1 : Repense ta consommation, achète seconde main ou loue !

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Notre consommation de biens à explosé ces dernières décennies. Deux exemples. En textile, les Suisses achètent en moyenne 60 pièces par an et 40% sont portés moins de 4 fois.  La durée moyenne d’utilisation d'une perceuse est de… 11 minutes. Dingue. Ensemble, nous avons un grand pouvoir et on peut changer la donne en consommant autrement. Deux pistes, faciles, funs, créatives, et qui font faire des économies ?Le seconde mainEt hop, tu entres en économie circulaire, avec tous ses avantages. Tu évites des déchets, mais aussi la production de nouveaux produits coûteux pour la planète. Tu économises ce qu’on appelle de l’énergie grise. Et bien sûr tu dépenses nettement moins. Oui, le seconde main, c’est tendance, et c’est justifié.La locationEtonnant tout ce qu’on peut louer aujourd’hui, et particulièrement à Genève. Oui, des outils, un vélo et autres. Mais c’est aussi l’occasion d’un moment fun et de découverte. Par exemple des vêtements de luxe à louer pour une soirée, pour se faire plaisir et se mettre en scène sans peser et dépenser inutilement.Tu as déjà essayé d’acheter en seconde main ou de louer un produit ?  Non ? Alors fonce. C’est facile. Tu as plein de liens dans la suite de la page.Oui ? Super, continue et remplace encore d’autres habitudes d’achat somme toute inutiles ! Alléger son empreinte et s’enrichir, à la fois en francs et en expériences d’une vie plus riche et plus variée ? Avec le seconde main et la location, ce n’est plus un paradoxe ! 

Biens de consommation

Action 4 - Mode mais aussi équipements : réparer plutôt que jeter, je maîtrise !

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Consommer mieux, vaste sujet dans notre société.Oui, certains fabricants réduisent volontairement la durée de vie de leurs produits pour accélérer les rachats. Mais notre part de responsabilité est plus forte que nous ne le pensons, et nos moyens d’action sont nombreux et faciles. Souvent nous achetons mal, de mauvaise qualité, et inutilement trop. Beaucoup de nos équipements sont peu utilisés.  Tout achat inutile, ou tout produit jeté trop tôt gaspille une grande quantité d’énergie et génère de la pollution. C’est ce qu’on appelle l’énergie grise. Prolonger la durée de vie de mes objets évite ou retarde l’utilisation de précieuses ressources et l’émission de CO2. L’exception ? Les produits nécessaires, mais obsolètes et énergétivores. La durabilité au quotidien, c’est d’abord le bon choix, puis un bon usage avec un bon entretien et, enfin, la réparation tant que c’est possible. Réparer soi-même, c’est gagner en pouvoir d’achat et en autonomie, et acquérir de nouvelles compétences. Et qui sait, je vais peut-être me découvrir créati-f-ve pour améliorer et personnaliser mes objets.Ceci dit, attention à ne pas se mettre en danger, notamment avec ce qui est électrique ou qui risque de blesser si mal réparé. Attention également aux tutoriels où tout semble simple, mais avec un risque d’erreurs qui reste présent. Si les compétences me manquent, je fais réparer mes objets chez un-e spécialiste ou j’en rencontre lors de Repairs cafés. Une belle expérience, à faire et refaire ! 

Biens de consommation

J'achète nettement moins de vêtements

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Trop vite créée, produite, achetée et jetée… la fast fashion désigne le renouvellement ultra rapide des collections chez les géants de la mode à (très) bas prix. Shein, c’est 7000 nouveaux modèles… par jour ! Le secteur de la mode est la 2ème source de pollution dans le monde. 3,3 milliards de tonnes de GES par an, 4 % de l’eau potable disponible, leur lavage qui rejette des microparticules de plastique, et des conditions de travail souvent inacceptables. La Suisse n’est pas bien placée. Nous importons 22 kg de vêtement par personne et par an. Alors oui, nous pouvons tous probablement décider d’acheter nettement moins de vêtements. Chacun peut déjà calculer son impact consommation de vêtements avec le calculateur NosGestesClimat. Et pourquoi pas se lancer un défi ? Une année sans acheter de nouveaux vêtements ! Certain-e-s l’ont déjà fait et témoignent. « J’ai bien sûr parfois eu des envies, et à chaque fois la question « est-ce-que j’en ai vraiment besoin ? » a suffit à me faire comprendre que cet achat serait inutile. J’ai enfin compris qu’à chaque nouvel achat, le plaisir est de courte durée : il laisse place à la culpabilité. » Ou la méthode 333 présentée dans les gestes. Surprenant et efficace ! Et si vous avez besoin d’aménager votre garde-robe, privilégiez la seconde main : vide-dressings, magasins de seconde-main... C’est fou ce qu’on y trouve. Et on peut en profiter pour monter en qualité. Vous êtes déjà en chemin ? Partagez votre expérience. Elle aidera certain-e-s à passer à l’acte !

Biens de consommation

J'achète des vêtements éthiques et durables

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L’industrie textile et particulièrement la Fast Fashion connaissent une croissance étonnamment soutenue et pose d’énormes défis écologiques et sociaux, d’autant plus qu’une grande partie des lieux de production sont délocalisés à l’étranger.  En effet, selon l’OFEV (Office fédéral de l'environnement), le secteur helvétique de l’habillement génère 96 % de son impact environnemental dans les pays où les vêtements et chaussures sont produits pour le compte des grandes chaînes.  Il est donc primordial que le commerce de détail favorise dans son offre les articles équitables et respectueux de l’environnement. De leur côté, les consommateurs et consommatrices jouent également un rôle important, en privilégiant l’achat de vêtements produits dans le respect de celles et ceux qui les fabriquent et l’utilisation de produits de qualité, solides et respectueux de l’environnement.   Enfin, des approches telles que l’achat en deuxième main, la location, l’échange et le partage diminuent la pression sur l’environnement et s’appliquent à une multitude de biens de consommation.  L'industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante au monde, après l'industrie pétrolière. Il est grand temps d’agir. Acheter éco-responsable dans la mode est aujourd’hui possible, facile, et en plein développement. Je rejoins cette tendance à la fois motivante et efficace.

Biens de consommation

Je donne une deuxième vie à mes objets (livres, jeux, meubles, appareils électroménagers, etc)

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Parmi nos multiples impacts, la pollution liée à notre consommation d'objets est l’un des plus importants. Chacun peut d'ailleurs calculer l'impact de sa consommation d'objets avec le calculateur NosGestesClimat.  Le plus efficace pour la réduire est de consommer moins, ou de permettre à nos objets de trouver une seconde vie. Pourquoi ? Parce que toute l’énergie et la matière contenues dans ces objets non achetés ou passés à d’autres sont ainsi économisées. C’est ce qu’on appelle l’énergie grise.  Et bien sûr, ça fait autant de déchets en moins. En 2020, les déchets urbains sont le deuxième secteur de déchets en Suisse (7 %). Notre part individuelle s'élève à 700 kg par an. L’action qui présente la méthode des 5R met en exergue l’importance du recyclage mais aussi de prolonger la durée de vie, garder plus longtemps, réparer et réutiliser (les textiles, les tawashis, etc.).  En effet, recycler demande beaucoup d’énergie et de moyens, et nous savons maintenant que le recyclage ne fait que repousser de quelques années l’épuisement de nos ressources. La réparation, la réutilisation et le partage de nos objets réduisent grandement notre consommation de ressources. Pensons à la location plutôt qu’à l’achat, au prêt entre voisins, notamment pour des objets qu’on n’utilise qu’une fois, saisonniers ou temporaires, comme des outils ou… les équipements pour bébé !  Et puis, au-delà de cet impact positif, il y a le plaisir d’avoir soi-même transformé des cagettes de déménagement en table basse, ou d’avoir récupéré une guitare à la recyclerie pour en faire une décoration murale !  

Biens de consommation

Je trie ma penderie et donne une seconde vie à mes habits

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L’industrie du textile et de la mode a des impacts environnementaux, sociaux et économiques très importants aux niveaux local et global. Produire des vêtements nécessite des matières premières, de la main d’œuvre et des transports. Au cours du processus de fabrication, des énergies non-renouvelables sont utilisées, des composés chimiques dangereux sont relâchés et des travailleurs et travailleuses sont exploités. Malgré les scandales maintenant bien connus de cette industrie, la consommation de vêtements ne cesse d’augmenter.  Et s’il était temps de repenser notre rapport à nos vêtements ?  Avoir beaucoup d’habits, dont une grande partie non utilisée, c’est avoir un impact écologique et social disproportionné, et c’est aussi une perte de temps et d’argent pour les acheter, les stocker, les entretenir, tout cela pour en profiter si peu.  En Suisse, presque tous nous avons beaucoup plus d’habits que vraiment nécessaire !  Vous voulez réduire efficacement votre empreinte, gagner du temps et mieux privilégier les pièces que vous aimez vraiment ? Il est temps de vous débarrasser de ce qui encombre vos placards et de retrouver des trésors perdus ! De passer de l’habitude d’achats trop fréquents à l’utile, au beau, au durable, à ce qui vous définit et vous va, au-delà de la mode éphémère.  Pensez à vos voisin-e-s, vos ami-e-s, et aussi aux personnes les plus démunies pour donner une seconde vie à vos habits. Partagez vos astuces de tri, de troc et vos idées de don efficaces !

Biens de consommation

J'emprunte ou je loue au lieu d'acheter

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Avec ou sans influence de la pub, nous achetons un nombre incalculable d’objets, dont nous nous servons parfois très peu, voire pas du tout. A outrance, notre consommation alimente la surexploitation des ressources et la surproduction de déchets. Elle encombre nos placards, fait mal à nos porte-monnaie, tout cela pour une utilité la plupart du temps temporaire. Face à une nouvelle pulsion d’achat d’un objet, demandez-vous plutôt quelle utilisation vous allez en faire et si vous en aurez l’utilité régulièrement et sur le long terme. Si la réponse est non, alors l’idée éco-responsable de génie est de l’emprunter ou de le louer ! Vous aurez le loisir de son utilisation mais pourrez partager son usage avec d’autres sans encombrer vos placards et sans taper dans les ressources de la planète ! Bonne nouvelle : ce réflexe se répand de plus en plus, ainsi que les lieux qui louent ou prêtent des objets en tout genre. Vous trouverez ici quelques idées ! Et encore plus proche de vous, avez-vous déjà vu un autocollant Pumpipumpe sur une boîte aux lettres ? C’est le signe d’un-e voisin-e qui déclare à son entourage qu’il peut prêter ses outils ou d’autres objets. Pourquoi pas vous ? Et plus simplement encore, demandez à votre entourage si quelqu’un peut vous dépanner ! Au fait, vous pratiquez probablement la chose depuis longtemps : les bibliothèques et les ludothèques, ça vous dit quelque chose ?

Biens de consommation

J’achète des objets de seconde main plutôt qu’acheter du neuf

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Un très bon moyen de réduire sa consommation de ressources naturelles est simplement de se fournir sur le marché de seconde main. Mais pas la peine de se transformer en boulimique de la récupe ! La seconde main est intéressante pour remplacer les objets neufs. Habits, jouets, livres, décoration, vaisselle, ou encore meubles, toutes sortes de biens non-consommables se trouvent sur ce marché. Faites cependant attention à l’électroménager, car de vieilles machines peuvent être beaucoup plus gourmandes en énergie que les récentes et devraient donc être recyclées à la place.  Le marché de seconde main prend plusieurs formes : brocante, vide-greniers, magasin spécialisé, ou sites internet pour les articles que vous ne trouveriez pas autrement, marchés aux puces, bourses d’échanges, vide-dressings, trocs, boîtes d’échange entre voisin-e-s, etc. Les articles de seconde main sont souvent moins chers, vous ferez ainsi des économies !