nuha - Des produits locaux et zéro déchets à domicile

Consommer en vrac facilement, en quelques clics et sans déplacement


Notre raison d’être
Contribuer à une alimentation saine, à un environnement propre et à une économie locale résiliente et inclusive


Notre mission
Réduire les déchets ménager à la source et soutenir l’adoption de nouvelles habitudes


NUHA est un marché en ligne qui a pour objectif de faciliter l’achat de produits en vrac en quelques clics et sans déplacement


Les commandes sont livrées dans des contenants réutilisables à véhicule électrique. Les contenants vides sont récupérés, nettoyés et réintroduits dans le circuit NUHA


NUHA valorise et amplifie l’impact des producteurs et artisans qui vendent des produits sans emballage, respectueux de l’environnement, équitables et autant que possible locaux et biologiques

Recommendé pour les actions

Alimentation

Je me lance le défi d’acheter 100% local et de saison pendant 2 semaines

0
20

Manger tout aussi bien mais en réduisant notre impact environnemental ? Simple et efficace, il suffit de privilégier le local et les produits de saison de notre terroir. Mon premier défi ? Je m’engage pendant 2 semaines à consommer 100 % local et de saison. C’est nécessaire. Notre canton importe plus de 80 % de ses denrées. Les fruits et légumes hors saison viennent de trop loin. Ces produits polluent par leur transport, c’est le fameux « kilomètre alimentaire ». Cueillis avant maturation, ils sont moins goûteux et de moins bonne qualité nutritionnelle.  Même locaux, les produits hors saison nécessitent souvent des serres chauffées qui émettent du CO2. Un exemple ? Les tomates cultivées localement mais hors saison produisent 7 fois plus d‘émission carbone, et plus encore pour d’autres produits. Un gros enjeu, facile à adresser. Nous nous sommes habitués à ce que tous les produits soient disponibles, toute l’année. Heureusement, de nombreux calendriers peuvent nous aider : WWF, Légumes suisses, Genève Terroir et GRTA , ou FRACP. A moi de choisir mon préféré.  D’autant que pour consommer local et de saison, nous avons un large choix à Genève. Et beaucoup de sites proposent des recettes de saison : Cuisiner malin, les Jardins de Cocagne, Légumes suisses etc. Malin, facile. Je n’ai qu’à décider de me lancer ! Avec deux aides saison et recettes dans mon smartphone et en lisant les étiquettes, je me démontre à moi-même que je peux acheter 100% local et de saison.

Transition participative

Un défi pour oser comprendre – Je fais face à mon plastique pendant 2 semaines !

0
20

Je parcours l'action qui pèse le plastique dans le monde et ici en Suisse. Je souhaite agir, je suis prêt à me lancer un défi à moi-même ? Alors en voici un simple et pédagogique, inspiré de l'expérience de partenaires engagés, comme PFC et Zero Waste.Chez moi, pendant 2 semaines, je mets à part dans un contenant particulier tous les plastiques que je dois jeter. Les flacons ou bouteilles en PET, mais aussi les objets manufacturés, emballages de produits, emballages alimentaires, vêtements synthétiques et autres. Tout le plastique !  C’est assez facile à faire. Il suffit de rincer les emballages alimentaires qui pourraient devenir malsains. Je relève le défi avec bon sens, je protège ma qualité de vie et je ne prends pas de risque avec ma santé. Pourquoi ce défi ? Un Suisse jette pas loin de 100 kg de plastique par an. Et 85% est tout simplement brûlé. Le CO2 du cycle de mon plastique représente 4% de mes émissions personnelles. Ce défi me permet d’en prendre conscience, de le « voir ». Parce que le plastique est omniprésent, parfaitement intégré à notre quotidien. Tri sélectif, poubelles utilisées en déplacement, à l’école ou au bureau, passages à la déchetterie… , je sème mon plastique plus ou moins discrètement un peu partout. Et je ne vois plus ce que je génère, moi-même, ma famille ou ma colocation. Alors je me lance ce défi et je prends conscience de ma part « d’homo plasticus »Première étape, je déroule les gestes de l’action

Biens de consommation

Un défi un peu fou - Aucun nouveau plastique n'entre chez moi pendant 2 semaines !

0
20

Je parcours l'action qui pèse le poids du plastique dans le monde et ici en Suisse.  Je souhaite agir et je suis prêt à me lancer un défi à moi-même ? Alors en voici un, étonnant et amusant.Pendant 2 semaines, je décide qu'aucun nouveau plastique n'entre chez moi ou dans ma consommation quotidienne. Je n'achète rien qui ne soit en plastique ou qui en soit accompagné. Flacons ou bouteilles en PET. Objets manufacturés type jouets ou déco, emballages de produits manufacturés ou alimentaires, vêtements synthétiques... tous les plastiques ou assimilés que la consommation me propose. Ca va me demander une belle vigilance, tellement le plastique est quasi partout. Un vrai challenge déjà de le voir, puis de trouver l'alternative qui peut être une substitution, ou... un non achat. Pourquoi ce défi ? Un Suisse jette en moyenne  plus de 2 kg de plastique par semaine. Et 85% est tout simplement brûlé. Le CO2 du cycle de mon plastique représente 4% de mes émissions personnelles. Ce défi me permet de vraiment en prendre conscience. Est-ce que je vais arriver à respecter mon engagement de zéro plastique dans ce défi ? Pas simple, mais peut-être. Le tenter est un vrai jeu, et une belle prise de conscience. Déjà "voir", puis décider.Alors oui, je me lance ce défi pour prendre conscience de ma part « d’homo plasticus ».Première étape, je déroule un par un les gestes de l’action

Alimentation

Je mange des fruits et légumes locaux et de saison

0
10

Quand on mange local et de saison, on réduit son impact environnemental et on soutient une agriculture durable tout en dégustant de meilleurs plats ! Le canton de Genève importe environ 80% des denrées consommées par sa population, et les fruits et légumes hors saison viennent souvent de très loin. En plus de la pollution engendrée par ce transport, ces produits sont cueillis avant maturation, donc avec peu de goût, pour qu’ils ne pourrissent pas le temps du transport. Sans compter que ce temps perdu réduit la qualité de leurs nutriments. Et attention, le local peut être un faux ami. En hiver, les fruits et légumes hors saison produits sur place peuvent l’être dans des serres chauffées au mazout qui émettent du CO2. Ainsi, des radis produits localement mais sous serre peuvent exiger 14 fois plus de CO2 que les mêmes cultivés en saison. Il est vrai qu'aujourd'hui nous sommes tellement habitués à ce que tous les fruits et légumes soient disponibles toute l'année qu'il n'est pas facile de savoir ce qui est de saison. Heureusement, il existe de nombreux calendriers qui peuvent nous aider :  WWF, Légumes suisses, Genève Terroir , et FRACP. A moi de choisir mon préféré.  Pour privilégier les aliments locaux, nous avons un large choix à Genève et beaucoup de sites proposent des recettes de saison : Cuisiner malin, les Jardins de Cocagne, Légumes suisses etc. Malin et facile !

Alimentation

Action emballages et plastique - J'achète mes aliments en vrac (pâtes, riz, graines etc)

0
10

Le poids des déchets urbains Comment se situe la Suisse en quantité de déchets urbains par personne ? Et bien nous sommes un des pays qui en produit le plus. Avec en 2020 près de 700 kg de déchets/personne et par an, nous sommes à la 3ème position en Europe, derrière le Danemark et la Norvège. Et celui des emballages alimentaires Dans le monde, chiffre mal connu, on estime qu'un tiers du plastique est à usage alimentaire.Un foyer suisse de 4 personne, c'est 71 kgs/an de plastique dans ses déchets ménagers. Un chiffre qui ne tient pas compte des déchets cachés : tous ceux générés lors de l'extraction des ressources, la fabrication des produits, leur transport et leur élimination. Des études estiment que pour chaque produit acheté, jusqu'à 35 fois plus de déchets sont produits ailleurs. Je peux agir En évitant les emballages alimentaires en plastique, c’est autant de déchets cachés, d'énergie, de pollution, de microplastique et d’émissions de carbone en moins. La bonne nouvelle, c'est qu'il est aujourd'hui possible d'acheter presque tous les produits alimentaires sans emballage. Je supprime les achats portionnés pour privilégier le vrac, et j'emporte "léger" et réutilisable : - fruits, légumes et pain dans mes sacs en tissu,- pâtes, riz, céréales, etc., dans les magasins de vrac, ou certaines grandes surfaces,- liquides de type huile et vinaigre avec mes propres bouteilles ou des récipients consignés,- fromage, poisson et viande à la coupe avec mes propres récipients. Dans la démarche Zéro Déchet, le meilleur déchet est bien celui que l’on ne produit pas !

Alimentation

Action emballages et plastique - Je privilégie les récipients consignés

0
10

“La consigne revient, et cela fait du bien !” C’est le slogan du projet “J’la ramène”, mené par SIG-éco21, Réseau Consignes et PRO visant à relancer une filière genevoise de réemploi des contenants alimentaires, comme cela existait autrefois : la fameuse consigne. Peut-être vous rappelez-vous avoir rapporté des bouteilles consignées lorsque vous étiez petit ? Ou avez-vous entendu vos parents en parler ?  Laver et réutiliser les bouteilles et les bocaux plutôt que de les recycler est bien meilleur pour la planète, si cela est fait localement. Les analyses de Cycle de Vie (ACV) montrent que réemployer une bouteille plutôt que la recycler permet de réaliser d’importantes réductions en énergie (jusqu'à 75%), en émission de GES (jusqu’à 80%) et en eau (environ 50%). Et cela soutient une économie circulaire et crée de nouveaux emplois au niveau local. Dès maintenant vous pouvez acheter en bouteilles/bocaux consignés à Genève : vin, bière, jus de fruit, lait, yogourts, confiture, coulis de tomates, produits à base de soja et bien d’autres. En dehors du projet “J’la ramène”, il y a beaucoup d’autres produits qui peuvent être achetés dans des emballages consignés, même les cosmétiques tels que les déodorants et les dentifrices.   Alors, adoptons l’habitude de l’achat de produits dans des emballages consignés et contribuons au succès de cette filière genevoise, tout en faisant un beau geste pour la planète et l’avenir de nos enfants.

Biens de consommation

Action emballages et plastique - J'achète mes produits de nettoyage en vrac

0
10

L’essentiel de ce qu’on achète est emballé. Seulement, nos emballages représentent 40% du volume de plastique consommé. Ils sont une source importante de pollution, pour leur fabrication, mais aussi par leur usage, générateur de micro et nano plastique. Concernant les produits d'entretien, réduire le volume d'emballage est particulièrement facile La bonne solution, c'est d'abord de simplifier le nettoyage !Souvent, un chiffon et de l'eau suffisent, avec un peu d'huile de coude. Ensuite, c'est de privilégier les produits simples et naturelsEn voici une liste, à vous de surfer. Le vinaigre en anti-calcaire, c'est efficace. Ou le bicarbonate de soude, ce produit redécouvert dont on ne finit plus d'apprécier l'efficacité et le très faible coût. Et en en mélangeant certains, on se fabrique ses nettoyants spécifiques pour certains usages. Et pour ces produits et les autres, il y a une offre de vrac. Magasins spécialisés en vrac, recharges chez mon distributeur, étales de marché, l'offre est là. Pour certains produits qui peuvent être dangereux pour les enfants, ils sont proposés dans des flacons consignés ou prévus exclusivement à cet usage, bien étiquetés. Je peux ainsi acheter du salon noir, du savon de Marseille, de la lessive, du détergent vaisselle en poudre ou en pastilles à prélever en vrac, bref, tout ce qui m'est nécessaire pour l'entretien de mon logement, de mes vêtements et mes équipements. À chaque fois que j’achète en vrac, je diminue mon empreinte écologique et je réduis mes taxes de gestion des déchets.