Une initiative efficaceOn est souvent coincés dans des habitudes qui, sans le vouloir, entraînent des pratiques polluantes. La bonne nouvelle, c’est que chacun peut directement aider à en changer. Un bon levier ? Propose des solutions mobilité douce à ton entreprise. Un vrai besoin !Un levier efficaceA votre échelle, il sera impactant, démultipliant ses effets x10, x50 suivant les collaborateurs impliqués.Et avec des bénéfices multiples. Climat, bien sûr. 1 T de CO2 c’est 5’000 km voiture ou… 600’000 en train. Un « Suisse moyen » parcourt plus de 15’000 km/an, soit près de 3 T de CO2 et le microplastique des pneus qui va avec. Et des impacts sur la biodiversité : la pollution et les infrastructures routières perturbent les écosystèmes et contribuent à la disparition d’espèces. Comment faire ?La clef, c’est simplement de lancer l’idée et qu’elle fasse son chemin, en lien avec les particularités de ton entreprise. Réduction des trajets avion, incitation à des trajets quotidiens durables, mobilité partagée, améliorant de la flotte automobile... Par où commencer ?Si ton entreprise n’a pas encore adopté de solutions écologiques, c’est le moment ! Inspire-toi des gestes proposés ci-dessous, tu verras, c’est facile, passionnant et mobilisateur. Un petit changement amorce souvent de grandes transformations, et ça commence souvent par une simple conversation. C’est plus simple qu’on ne le croie, et on ne regrette que ce que l’on n’a pas essayé, jamais ce que l’on a tenté !

Se rendre au travail, aller faire nos courses, partir en vacances, rejoindre les lieux de nos hobbys du soir et du weekend… En Suisse, nos déplacements sont le premier facteur de nos impacts sur l’environnement : émissions de gaz à effet de serre (GES), particules fines, gaz toxiques, bruit, réseaux routiers qui transforment le territoire, etc. La fabrication et l’utilisation de nos véhicules agissent lourdement sur les pollutions que sur le réchauffement climatique. En Suisse, les taux de pollution de l’air sont déjà suffisamment élevés pour impacter négativement notre santé. Maladies respiratoires mais aussi décès prématurés : la pollution atmosphérique diminue l’espérance de vie. En ce qui concerne les émissions de GES, en Ville de Genève, la mobilité, autrement dit nos déplacements, sont à l’origine de 27 % des émissions de GES des habitant-e-s (26 % à l’échelle du Canton). Si les déplacements aériens (17%) ont un fort impact, la mobilité terrestre (10 %) est elle aussi importante. Les transports individuels motorisés dominés par les voitures à essence et diesel sont le contributeur principal des émissions liées à la mobilité terrestre. En changeant quelques habitudes quotidiennes, il est facile de réduire ces émissions sans diminuer notre niveau de confort. Il existe même des astuces qui permettent également d’économiser du temps et de l’argent. Marche à pied, utilisation du vélo, transports public : toute une série d’actions sont à ma disposition. 

Se rendre au travail, aller faire nos courses, partir en vacances, rejoindre les lieux de nos hobbys du soir et du weekend… Tout déplacement engendre des impacts sur l’environnement : émissions de gaz à effet de serre (GES), particules fines, gaz toxiques, bruit, réseaux routiers qui transforment le territoire, etc. La fabrication et l’utilisation de nos véhicules agissent donc directement sur les pollutions que sur le réchauffement climatique. En Suisse, les taux de pollution de l’air sont déjà suffisamment élevés pour impacter négativement notre santé. Maladies respiratoires mais aussi décès prématurés : la pollution atmosphérique diminue l’espérance de vie. En ce qui concerne les émissions de GES, en Ville de Genève, la mobilité, autrement dit nos déplacements, sont à l’origine de 27 % des émissions de GES des habitant-e-s (26 % à l’échelle du Canton). Si les déplacements aériens (17%) ont un fort impact, la mobilité terrestre (10 %) est elle aussi importante. Les transports individuels motorisés dominés par les voitures à essence et diesel sont le contributeur principal des émissions liées à la mobilité terrestre. En changeant quelques habitudes quotidiennes, il est facile de réduire ces émissions sans diminuer notre niveau de confort. Il existe même des astuces qui permettent également d’économiser du temps et de l’argent. Marche à pied, utilisation du vélo ou déplacements en transports public : toute une série d’actions sont à ma disposition