Pro Natura Genève

AGIR POUR LA NATURE - PARTOUT




Pro Natura est la plus ancienne organisation de protection de la nature en Suisse. Nous aimons la nature, défendons ses intérêts et lui donnons une voix forte. La diversité naturelle des animaux, des plantes et des habitats doit être conservée et promue !


Recommendé pour les actions

Logement et énergie

Je limite ma consommation de vidéos en streaming

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Le saviez-vous ? Le visionnage de vidéos en streaming représente 60% du trafic de données et a généré 300 Mégatonnes de CO2 en 2018, à l'échelle mondiale. Autant qu’un pays comme l’Espagne. Assis dans notre canapé devant notre écran, la consommation de films semble indolore. Pourtant un film en haute résolution pèse autant en CO2 que 200'000 courriels sans pièce jointe. Alors, comment faire pour stopper ou du moins limiter ce fléau qui ne fait qu’aggraver la situation climatique ? Chacun-e peut prendre conscience du temps qu’il ou elle passe à consommer en streaming devant un écran. Ce temps peut être progressivement reconverti en tout un choix d’autres activités qui génèrent moins de CO2 et en même temps qui font du bien. Malgré la tentation, je peux décider d’aller me balader en plein air, faire du sport, emprunter des livres à la bibliothèque, allez voir des ami-e-s, faire de l’associatif et plein d’autres choses, seul-e ou en famille. Et pour les féru-e-s de cinéma, une sortie sur grand écran, notamment dans les cinémas indépendants, lors d’un festival ou en plein air, redonne une valeur spéciale au 7ème art, mieux qu’en binge-watching affalé-e sur son canapé ! En plus de limiter ma quantité de streaming, il existe des astuces pour réduire la consommation d’énergie utilisée, comme baisser la résolution des écrans, désactiver la lecture automatique, préférer le téléchargement ou visionner en wifi plutôt qu’en 4G. The Shift Project propose une vidéo de 3 mns pour facilement réduire son empreinte. Ça vaut le mini-détour !

Biodiversité

Je (re)découvre l'importance de la biodiversité pour notre survie

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Nous savons aujourd’hui que la biodiversité de notre planète est en péril. L’ampleur du phénomène est telle que certains parlent de la 6ème extinction de masse. Les causes sont multiples, et toutes sont en lien avec l’activité humaine. On notera parmi les principales les changements dans l’utilisation des terres (déforestation, monoculture intensive, urbanisation etc.), le braconnage, la surpêche, les changements climatiques, la pollution et les espèces exotiques envahissantes. Or, ces changements surviennent trop rapidement pour que la vie sur Terre n’ait le temps de s’adapter. Et ce serait une erreur de concevoir les écosystèmes comme étant séparés de l’humain. Nous en faisons pleinement partie. Nous en sommes complètement dépendant-e-s. On appelle services écosystémiques les différents services que rend la nature à l’humanité : approvisionnement en nourriture et matières premières, régulation du climat, cadre pour se détendre ou encore pollinisation sont autant d’exemples de cette dépendance. Cette problématique est complexe et il n’existe malheureusement pas de solution unique pour la résoudre. En tant que citoyen-ne, on peut toutefois se montrer attentif et critique lors du traitement de ce genre de dossier par nos élu-e-s. Au quotidien, on peut éviter d’acheter des produits non issus de filières durables, privilégier des aliments qui ne contiennent pas de pesticides ou diminuer son empreinte carbone. Et bien sûr sensibiliser les enfants au respect de toute forme de vie.