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Où faire réparer, louer ou acheter du seconde main ?
Où acheter de l'alimentation locale et durable, trouver des restaurants engagés ?


Tout est ici, dans ce site de la Ville qui t'offre une série de répertoires d'adresses pour consommer malin.
Toi aussi entre à ta manière et à ton rythme dans ce vaste monde de la consommation durable.
Passionnant, tellement riche et varié !

Recommendé pour les actions

Biens de consommation

Impact Hub – Défi carbone – Ton Défi #1 : Repense ta consommation, achète seconde main ou loue !

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Notre consommation de biens à explosé ces dernières décennies. Deux exemples. En textile, les Suisses achètent en moyenne 60 pièces par an et 40% sont portés moins de 4 fois.  La durée moyenne d’utilisation d'une perceuse est de… 11 minutes. Dingue. Ensemble, nous avons un grand pouvoir et on peut changer la donne en consommant autrement. Deux pistes, faciles, funs, créatives, et qui font faire des économies ?Le seconde mainEt hop, tu entres en économie circulaire, avec tous ses avantages. Tu évites des déchets, mais aussi la production de nouveaux produits coûteux pour la planète. Tu économises ce qu’on appelle de l’énergie grise. Et bien sûr tu dépenses nettement moins. Oui, le seconde main, c’est tendance, et c’est justifié.La locationEtonnant tout ce qu’on peut louer aujourd’hui, et particulièrement à Genève. Oui, des outils, un vélo et autres. Mais c’est aussi l’occasion d’un moment fun et de découverte. Par exemple des vêtements de luxe à louer pour une soirée, pour se faire plaisir et se mettre en scène sans peser et dépenser inutilement.Tu as déjà essayé d’acheter en seconde main ou de louer un produit ?  Non ? Alors fonce. C’est facile. Tu as plein de liens dans la suite de la page.Oui ? Super, continue et remplace encore d’autres habitudes d’achat somme toute inutiles ! Alléger son empreinte et s’enrichir, à la fois en francs et en expériences d’une vie plus riche et plus variée ? Avec le seconde main et la location, ce n’est plus un paradoxe ! 

Biens de consommation

Action 4 - Mode mais aussi équipements : réparer plutôt que jeter, je maîtrise !

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Consommer mieux, vaste sujet dans notre société.Oui, certains fabricants réduisent volontairement la durée de vie de leurs produits pour accélérer les rachats. Mais notre part de responsabilité est plus forte que nous ne le pensons, et nos moyens d’action sont nombreux et faciles. Souvent nous achetons mal, de mauvaise qualité, et inutilement trop. Beaucoup de nos équipements sont peu utilisés.  Tout achat inutile, ou tout produit jeté trop tôt gaspille une grande quantité d’énergie et génère de la pollution. C’est ce qu’on appelle l’énergie grise. Prolonger la durée de vie de mes objets évite ou retarde l’utilisation de précieuses ressources et l’émission de CO2. L’exception ? Les produits nécessaires, mais obsolètes et énergétivores. La durabilité au quotidien, c’est d’abord le bon choix, puis un bon usage avec un bon entretien et, enfin, la réparation tant que c’est possible. Réparer soi-même, c’est gagner en pouvoir d’achat et en autonomie, et acquérir de nouvelles compétences. Et qui sait, je vais peut-être me découvrir créati-f-ve pour améliorer et personnaliser mes objets.Ceci dit, attention à ne pas se mettre en danger, notamment avec ce qui est électrique ou qui risque de blesser si mal réparé. Attention également aux tutoriels où tout semble simple, mais avec un risque d’erreurs qui reste présent. Si les compétences me manquent, je fais réparer mes objets chez un-e spécialiste ou j’en rencontre lors de Repairs cafés. Une belle expérience, à faire et refaire ! 

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Action 3 - Habillement, je me lance dans les achats de seconde main

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L’industrie textile et la Fast Fashion connaissent une forte croissance et posent d’énormes défis écologiques et sociaux. Et ce d’autant plus que la production des grandes chaînes est délocalisée dans des pays… « lointains ». Le secteur helvétique de l’habillement génère 95 % de son impact environnemental à l’étranger. Pratique, non ? Nous en portons tous une part de responsabilité. Bonne nouvelle, Il y a de vraies alternatives pour réduire ce gâchis. Le plus efficace est de ne pas acheter neuf, ou très peu. Pourquoi ? Parce que toute l’énergie et la matière contenues dans ces objets non achetés est ainsi économisée. Ce qu’on appelle l’énergie grise, l’énergie d’extraction, fabrication, transport, distribution, usage et recyclage.Il est aussi indispensable d’encourager le commerce de détail qui favorise les articles équitables, et privilégier des labels respectueux de l’environnement et de normes sociales correctes. Et si je commençais par mes vêtements ? Acheter éco-responsable dans la mode, c’est facile et en plein développement. Point de convergence de ces opportunités de forte contribution, l’achat en 2nde main, mais aussi la location,  ou l’échange et le partage réduisent fortement ma pression sur l’environnement. Et je découvre tout un circuit durable, des passionné-e-s, des bons conseils, et de magnifiques opportunités peu chères. Je peux même en profiter pour monter en gamme.C’est décidé, je rejoins ce mouvement, tout un monde qui n’attend que moi.

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Action 1 - Cette année, mon Black Friday est 100% Green

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Vendredi 29 novembre, Black Friday 2024. Difficile de l’ignorer ! Avec une origine étonnante, son prétexte est de lancer les achats des fêtes.C’est surtout un phénomène planétaire. Des réductions bruyantes, une priorité mode et électronique, brader les invendus et créer la peur de manquer : la recette est rôdée, le résultat sidérant : 70 milliards de $ en 2023, plus 8%.C’est l’archétype de l’hyper consommation. L’engouement pour certains est addictif. Cette journée… noire, compte même ses victimes. Mourir pour des idées, peut-être. Mourir pour un paquet…Est-ce un problème pour la planète ? Oui. Tout achat, c’est de l’énergie grise dépensée. Et dans une ambiance de compétition, achat d’opportunité rime avec achat inutile. Le « Je le vaux bien » devient « Il me le faut ! ». Pointes de production et de logistique, pressions techniques et humaines, exceptionnelles donc mal gérées, l’impact social et écologique est très lourd.La tendance en Suisse ? Un peu plus de gens le pratiquent, mais nous commençons à acheter moins, avec le sentiment que ce n’est pas si attractif que ça. Alors oui, cette année, la consommation effrénée et mondialisée peut ne pas passer par moi. Je peux m’en libérer, et décider de vivre, avec mes proches, un Green Friday. Sans compromis ? Je décide de ne rien acheter ! Plutôt Smart ? Je prépare une courte liste d’achats 100 % locaux et verts, dont j’ai réellement besoin. Et j’achète au juste prix ! Gestes, liens et partenaires, tout est là !