J'la ramène - La filière genevoise de réemploi de contenants alimentaires

La consigne revient
et ça fait du bien !


Recommendé pour les actions

Biens de consommation

Je me lance un défi - Zéro nouveau plastique chez moi pendant 2 semaines !

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Je parcours l'action qui pèse le poids du plastique dans le monde et ici en Suisse.  Je souhaite agir et je suis prêt à me lancer un défi à moi-même ? Alors en voici un, étonnant et amusant.Pendant 2 semaines, je décide qu'aucun nouveau plastique n'entre chez moi ou dans ma consommation quotidienne. Je n'achète rien qui ne soit en plastique ou qui en soit accompagné. Flacons ou bouteilles en PET. Objets manufacturés type jouets ou déco, emballages de produits manufacturés ou alimentaires, vêtements synthétiques... tous les plastiques çou assimilés que la consommation me propose. Ca va me demander une belle vigilance, tellement le plastique est quasi partout. Un vrai challenge déjà de le voir, puis de trouver l'alternative qui peut être une substitution, ou... un non achat. Pourquoi ce défi ? Un Suisse jette en moyenne  plus de 2 kg de plastique par semaine. Et 85% est tout simplement brûlé. Le CO2 du cycle de mon plastique représente 4% de mes émissions personnelles. Ce défi me permet de vraiment en prendre conscience. Est-ce que je vais arriver à respecter mon engagement de zéro plastique dans ce défi ? Pas simple, mais peut-être. Le tenter est un vrai jeu, et une belle prise de conscience. Déjà "voir", puis décider.Alors oui, je me lance ce défi pour prendre conscience de ma part « d’homo plasticus ».Première étape, je déroule un par un les gestes de l’action

Transition participative

Je me lance un défi – Je fais face à mon plastique pendant 2 semaines !

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Je parcours l'action qui pèse le plastique dans le monde et ici en Suisse. Je souhaite agir, je suis prêt à me lancer un défi à moi-même ? Alors en voici un simple et pédagogique, inspiré de l'expérience de partenaires engagés, comme PFC et Zero Waste.Chez moi, pendant 2 semaines, je mets à part dans un contenant particulier tous les plastiques que je dois jeter. Les flacons ou bouteilles en PET, mais aussi les objets manufacturés, emballages de produits, emballages alimentaires, vêtements synthétiques et autres. Tout le plastique !  C’est assez facile à faire. Il suffit de rincer les emballages alimentaires qui pourraient devenir malsains. Je relève le défi avec bon sens, je protège ma qualité de vie et je ne prends pas de risque avec ma santé. Pourquoi ce défi ? Un Suisse jette en moyenne  plus de 2 kg de plastique par semaine. Et 85% est tout simplement brûlé. Le CO2 du cycle de mon plastique représente 4% de mes émissions personnelles. Ce défi me permet d’en prendre conscience, de le « voir ». Parce que le plastique est omniprésent, parfaitement intégré à notre quotidien. Tri sélectif, poubelles utilisées en déplacement, à l’école ou au bureau, passages à la déchetterie… , je sème mon plastique plus ou moins discrètement un peu partout. Et je ne vois plus ce que je génère, moi-même, ma famille ou ma colocation. Alors je me lance ce défi et je prends conscience de ma part « d’homo plasticus »Première étape, je déroule les gestes de l’action

Alimentation

Je privilégie les récipients consignés

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“La consigne revient, et cela fait du bien !” C’est le slogan du projet “J’la ramène”, mené par SIG-éco21, Réseau Consignes et PRO visant à relancer une filière genevoise de réemploi des contenants alimentaires, comme cela existait autrefois : la fameuse consigne. Peut-être vous rappelez-vous avoir rapporté des bouteilles consignées lorsque vous étiez petit ? Ou avez-vous entendu vos parents en parler ?  Laver et réutiliser les bouteilles et les bocaux plutôt que de les recycler est bien meilleur pour la planète, si cela est fait localement. Les analyses de Cycle de Vie (ACV) montrent que réemployer une bouteille plutôt que la recycler permet de réaliser d’importantes réductions en énergie (jusqu'à 75%), en émission de GES (jusqu’à 80%) et en eau (environ 50%). Et cela soutient une économie circulaire et crée de nouveaux emplois au niveau local. Dès maintenant vous pouvez acheter en bouteilles/bocaux consignés à Genève : vin, bière, jus de fruit, lait, yogourts, confiture, coulis de tomates, produits à base de soja et bien d’autres. En dehors du projet “J’la ramène”, il y a beaucoup d’autres produits qui peuvent être achetés dans des emballages consignés, même les cosmétiques tels que les déodorants et les dentifrices.   Alors, adoptons l’habitude de l’achat de produits dans des emballages consignés et contribuons au succès de cette filière genevoise, tout en faisant un beau geste pour la planète et l’avenir de nos enfants.

Biens de consommation

Je me renseigne sur la thématique des déchets

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Les déchets sont les restes non consommés de tout ce que nous consommons. La quantité de ceux-ci a augmenté en Suisse de 30 % de 1990 à 2012 pour atteindre 21.5 millions de tonnes en 2013. Soit environ 2'130 fois le poids de la tour Eiffel. Ceci s’explique par une croissance démographique et économique mais démontre surtout la nécessité de trier et valoriser efficacement nos déchets.  Le plus grand producteur de déchets en Suisse reste le secteur de la construction avec 12 millions de tonnes. Toutefois, une grande partie y est recyclée et réutilisée. Les Suisse-sse-s produisent environ 5.7 millions de tonnes au total dont 45 % sont revalorisés. Si les quantités produites augmentent d’année en année, la part de déchets recyclés augmente elle aussi.  Malgré cela, bon nombre de déchets valorisables finissent encore dans les ordures. Il reste de grands progrès à faire !  Je peux d'ailleurs évaluer l'impact de ma consommation avec le calculateur NosGestesClimat. Depuis quelques années, l'arrivée généralisée de la taxe au sac a permis de réduire de 30 % supplémentaires la quantité de déchets non recyclés par habitant-e. Suite à cette taxe, nous trions plus mais malheureusement moins bien en moyenne. Ne serait-il pas venu le moment de prendre connaissance des bonnes pratiques en matière de tri et de se les appliquer ? Sans oublier, comme le dit l'adage, que « le meilleur déchet est celui que l'on ne produit pas » ! Alors oui, évitons de surconsommer, choisissons des produits pas ou peu emballés et recyclons tout ce qui peut l'être.