Vet'Lok - Je découvre et j'utilise une vétithèque !


Qu'est-ce qu'une vétithèque ?



Le principe d'une vétithèque est de mettre à disposition des vêtements pour l'emprunt. Le fonctionnement est identique à celui d'une bibliothèque. Les membres de la vétithèque emrpuntent les vêtements dont ils ont besoin et les rendent à un certain délai.  


 



La vétithèque Vet'Lok



Vet'Lok est une association à but non lucratif qui a pour objectif d'inciter à une consommation responsable qui va dans le sens du développement durable et de la solidarité. L'association donne une seconde vie (ou une première) aux vêtements pour enfants et offre une alternative aux familles pour réduire leurs dépenses. Tous les vêtements proviennent de dons. 

Recommendé pour les actions

Biens de consommation

Action 3 - Habillement, je me lance dans les achats de seconde main

Une mise en œuvre
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L’industrie textile et la Fast Fashion connaissent une forte croissance et posent d’énormes défis écologiques et sociaux. Et ce d’autant plus que la production des grandes chaînes est délocalisée dans des pays… « lointains ». Le secteur helvétique de l’habillement génère 95 % de son impact environnemental à l’étranger. Pratique, non ? Nous en portons tous une part de responsabilité. Bonne nouvelle, Il y a de vraies alternatives pour réduire ce gâchis. Le plus efficace est de ne pas acheter neuf, ou très peu. Pourquoi ? Parce que toute l’énergie et la matière contenues dans ces objets non achetés est ainsi économisée. Ce qu’on appelle l’énergie grise, l’énergie d’extraction, fabrication, transport, distribution, usage et recyclage.Il est aussi indispensable d’encourager le commerce de détail qui favorise les articles équitables, et privilégier des labels respectueux de l’environnement et de normes sociales correctes. Et si je commençais par mes vêtements ? Acheter éco-responsable dans la mode, c’est facile et en plein développement. Point de convergence de ces opportunités de forte contribution, l’achat en 2nde main, mais aussi la location,  ou l’échange et le partage réduisent fortement ma pression sur l’environnement. Et je découvre tout un circuit durable, des passionné-e-s, des bons conseils, et de magnifiques opportunités peu chères. Je peux même en profiter pour monter en gamme.C’est décidé, je rejoins ce mouvement, tout un monde qui n’attend que moi.

Biens de consommation

J'achète nettement moins de vêtements

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Trop vite créée, produite, achetée et jetée… la fast fashion désigne le renouvellement ultra rapide des collections chez les géants de la mode à (très) bas prix. Shein, c’est 7000 nouveaux modèles… par jour ! Le secteur de la mode est la 2ème source de pollution dans le monde. 3,3 milliards de tonnes de GES par an, 4 % de l’eau potable disponible, leur lavage qui rejette des microparticules de plastique, et des conditions de travail souvent inacceptables. La Suisse n’est pas bien placée. Nous importons 22 kg de vêtement par personne et par an. Alors oui, nous pouvons tous probablement décider d’acheter nettement moins de vêtements. Chacun peut déjà calculer son impact consommation de vêtements avec le calculateur NosGestesClimat. Et pourquoi pas se lancer un défi ? Une année sans acheter de nouveaux vêtements ! Certain-e-s l’ont déjà fait et témoignent. « J’ai bien sûr parfois eu des envies, et à chaque fois la question « est-ce-que j’en ai vraiment besoin ? » a suffit à me faire comprendre que cet achat serait inutile. J’ai enfin compris qu’à chaque nouvel achat, le plaisir est de courte durée : il laisse place à la culpabilité. » Ou la méthode 333 présentée dans les gestes. Surprenant et efficace ! Et si vous avez besoin d’aménager votre garde-robe, privilégiez la seconde main : vide-dressings, magasins de seconde-main... C’est fou ce qu’on y trouve. Et on peut en profiter pour monter en qualité. Vous êtes déjà en chemin ? Partagez votre expérience. Elle aidera certain-e-s à passer à l’acte !

Biens de consommation

Je trie ma penderie et donne une seconde vie à mes habits

Une mise en œuvre
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L’industrie du textile et de la mode a des impacts environnementaux, sociaux et économiques très importants aux niveaux local et global. Produire des vêtements nécessite des matières premières, de la main d’œuvre et des transports. Au cours du processus de fabrication, des énergies non-renouvelables sont utilisées, des composés chimiques dangereux sont relâchés et des travailleurs et travailleuses sont exploités. Malgré les scandales maintenant bien connus de cette industrie, la consommation de vêtements ne cesse d’augmenter.  Et s’il était temps de repenser notre rapport à nos vêtements ?  Avoir beaucoup d’habits, dont une grande partie non utilisée, c’est avoir un impact écologique et social disproportionné, et c’est aussi une perte de temps et d’argent pour les acheter, les stocker, les entretenir, tout cela pour en profiter si peu.  En Suisse, presque tous nous avons beaucoup plus d’habits que vraiment nécessaire !  Vous voulez réduire efficacement votre empreinte, gagner du temps et mieux privilégier les pièces que vous aimez vraiment ? Il est temps de vous débarrasser de ce qui encombre vos placards et de retrouver des trésors perdus ! De passer de l’habitude d’achats trop fréquents à l’utile, au beau, au durable, à ce qui vous définit et vous va, au-delà de la mode éphémère.  Pensez à vos voisin-e-s, vos ami-e-s, et aussi aux personnes les plus démunies pour donner une seconde vie à vos habits. Partagez vos astuces de tri, de troc et vos idées de don efficaces !