Join a challenge organized by the Environmental committee with the support of agirageneve.ch and PFC for the occasion of Earth day on April 22. Easy, fun, impactful What is my challenge?April 19 to... – I open my eyes, pick littering plastic wherever I find it, take a picture for the challenge and throw the litter properly Our goal?Together we pick 500 items anywhere. Call your friends to join, being IHEID students or not!How to start?Easy, less than 5 mns1. I open my agirageneve.ch account here2. I install the « Litterati » app on my smartphone and I join the IHEID-GEN challenge with the “371935” code3. I take a picture in the app of every plastic I find in the wrong place, and discard it at the right one And I post messages in the forum for quick feedback and sharing my contribution to the planet. Mission complete! I want to go further?I check the resources listed below to better understand why plastic is a worldwide nightmare and its impactI navigate through the agirageneve.ch 75 actions, I choose the ones I like for daily contributions to a sustainable transition. Sorry, it’s still in French, nobody is perfect… 😊I can regularly post on the forum to share my experience and encourage othersAnd I can subscribe to the Environmental Committee Instagram page to know how I can take action within the Graduate InstituteWelcome in transition, an obvious necessity. And with agirageneve.ch, if I change, the world changes!

Vous êtes membre de Genève Rando, nous vous invitons à participer à ce challenge !Le plastique est un cauchemar pour la planète. Le 22 avril est la journée de la Terre nourricière. Genève Rando et agirageneve.ch proposent un challenge simple et efficace. Quel challenge ?En randonnée, mais aussi en ville et ailleurs, j’ouvre les yeux, je repère, je prends en photo et j’élimine les déchets plastiques qui ne sont pas à leur place. Notre objectif ?J’encourage d’autres personnes à rejoindre le challenge, membres Genève Rando ou pas. Ensemble nous collectons au moins 500 pièces ou déchets. Comment ça se passe ?Facile. 3 étapes. 1 - J’ouvre un compte dans Agirageneve.ch. C’est ici.2 - J’installe l’application « Litterati » sur mon smartphone et je rejoins notre challenge GEN-RANDO, code « 875161 ».3 - Et je prends en photo et j’élimine chaque plastique que je trouve à la mauvaise place.C'est tout et c'est beaucoup ! Je contribue ?Je poste un message sur le forum pour partager mon expérience et mes résultats pour la planète. Je veux aller plus loin ?Tout aussi facile. Je lis les 5 liens ci-dessous. Ils m’éclairent sur le poids du plastique sur la planète. Sidérant. Et je navigue dans Agirageneve.ch. Je choisis les actions qui me parlent ; chaque jour je contribue à la transition. Et de temps à autre, je partage mon expérience sur le forum. Si je change, alors le monde change. Merci de votre contribution !

En consommation directe, nous utilisons en moyenne 142 litres par jour. La salle de bain et la cuisine sont les pièces de la maison les plus gourmandes en eau. Et laver sa voiture, c’est 200 litres. Consommer de l'eau, c'est aussi consommer de l'énergie car il faut la pomper, la traiter, la transporter, la chauffer, la traiter à nouveau, puis la rendre à la nature. A Genève, étonnamment plus d’un tiers de notre eau de consommation est utilisée chaude. Or c’est bien notre chauffe-eau qui est le plus gros consommateur d’énergie chez nous après le chauffage. Un tiers, c’est donc beaucoup. Globalement, l'eau représente une ressource précieuse et vitale même ici en Suisse, il est donc primordial de contribuer à sa préservation grâce à quelques gestes simples. Dans le domaine de l’eau de consommation directe, la Suisse se classe bien. La consommation d’eau par habitant est en baisse depuis 1980, malgré la hausse constante de la population. Ceci est dû à un travail constant d’optimisation des infrastructures mais aussi grâce aux citoyens de plus en plus nombreux à être conscients des enjeux. La plupart d’entre nous adoptent à sa manière des habitudes plus écologiques. De plus, en Suisse nous avons la chance d’avoir une eau d’excellente qualité disponible à nos robinets et dans la majorité des fontaines.  Le besoin d’économies en eau va augmenter dans les années à venir, la priorité aux économies est déjà là. Voici des gestes qui vont contribuer à la préserver.

En moyenne chaque Suisse-sse utilise 4'200 litres d’eau par jour. Comment arrive-t-on à ce montant colossal ? Explications… Ce nombre prend en considération l’eau "virtuelle", c’est-à-dire l’eau nécessaire dans le processus de production de ce que nous consommons. Des exemples ? Pour sa culture, sa production, son transport et sa distribution, il faut compter 200 l d’eau pour un œuf, 15'500 l pour un kg de bœuf (chiffre de type ONG, commenté et corrigé par les filières suisses), et 75 l pour un verre de bière. Réfléchir sur sa consommation d’eau est important pour plusieurs raisons. D’abord, l’eau permet de cultiver nos denrées, de produire de l’énergie et de répondre à des besoins fondamentaux. Nous en dépendons directement.  Ensuite, l’eau est inégalement répartie et consommée dans le monde. Pour l’eau domestique par habitant-e, l’écart peut être de 20 entre certains pays, de 2 voire plus au sein de l’Europe. La Suisse se situent plutôt bien dans les pays développés surtout grâce à la qualité des infrastructures.  Enfin les réserves mondiales se réduisent comme en témoigne la quasi disparition de la mer d’Aral ou la fonte totale attendue pour 2080 du glacier de la Plaine morte en Valais. La moitié des lacs et réservoirs de plus de 100 km² dans le monde sont en déclin. Ceci est d’autant plus inquiétant que la population mondiale augmente constamment. Vous souhaitez situer votre consommation d’eau ? Le calculateur Water footprint est le plus connu. Vous y accédez ici.

Nous savons aujourd’hui que la biodiversité de notre planète est en péril. L’ampleur du phénomène est telle que certains parlent de la 6ème extinction de masse. Les causes sont multiples, et toutes sont en lien avec l’activité humaine. On notera parmi les principales les changements dans l’utilisation des terres (déforestation, monoculture intensive, urbanisation etc.), le braconnage, la surpêche, les changements climatiques, la pollution et les espèces exotiques envahissantes. Or, ces changements surviennent trop rapidement pour que la vie sur Terre n’ait le temps de s’adapter. Et ce serait une erreur de concevoir les écosystèmes comme étant séparés de l’humain. Nous en faisons pleinement partie. Nous en sommes complètement dépendant-e-s. On appelle services écosystémiques les différents services que rend la nature à l’humanité : approvisionnement en nourriture et matières premières, régulation du climat, cadre pour se détendre ou encore pollinisation sont autant d’exemples de cette dépendance. Cette problématique est complexe et il n’existe malheureusement pas de solution unique pour la résoudre. En tant que citoyen-ne, on peut toutefois se montrer attentif et critique lors du traitement de ce genre de dossier par nos élu-e-s. Au quotidien, on peut éviter d’acheter des produits non issus de filières durables, privilégier des aliments qui ne contiennent pas de pesticides ou diminuer son empreinte carbone. Et bien sûr sensibiliser les enfants au respect de toute forme de vie.

On le sait, le plastique abandonné dans la nature est cause de pollution et de perturbation des écosystèmes. Nous savons aussi depuis un bon nombre d’années que les océans sont pollués par le plastique et que cela cause la mort de nombreuses espèces animales (tortues, oiseaux, poissons,…).  Plus de 8 millions de tonnes sont déversés chaque année dans les océans ! Mais qu’en est-il de nos ressources en eau, de nos lacs et rivières suisses ? Malheureusement, elles n’échappent pas à la malédiction du plastique. On l’a découvert récemment, le lac Léman souffre d’une pollution aux microplastiques comparable à celle de la mer Méditerranée ! La menace pour les habitant-e-s du Léman est encore à démontrer, mais le constat reste alarmant. Chaque Suisse produit près de 100 kg de plastique. Seulement 0.3 % de tout ce plastique finit dans la nature, mais c’est beaucoup trop pour un déchet d’une grande durée de vie. Sans compter que les microplastiques sont générés par d’autres voies, comme l’usure des pneus de véhicules. Et à la fin, la pollution des eaux douces se déverse dans les mers et les océans…